1. Doctorante (3)


    Datte: 14/04/2020, Catégories: Hétéro Auteur: bbrue, Source: Xstory

    ... commençait à prendre de la rigueur.
    
    Ça n’était pas la première fois que je couchais avec ce prof. Je savais ce qu’il aimait: le jeu de la secrétaire salope. Je défis mes cheveux, ouvris mon chemisier et me mis à quatre pattes pour me faufiler sous le bureau. Je m’approchais de sa bite pour donner un premier coup de langue. Elle sentait bon le savon. Sans réfléchir davantage, je l’engloutis sur-le-champ. Je faisais des allers et retours sur son vit en produisant un bruit de succion obscène. De toute évidence, j’étais en train d’atteindre l’effet rechercher: son sexe devenait de plus en plus dur et de plus en plus gros. Philippe semblait apprécier mon traitement, car il n’arrêtait de chuchoter entre ses dents "oui c’est bon ! Continue petite coquine !Tu vas voir ce que tu vas prendre."
    
    Je sentais mon string devenir de plus en plus humide. J’avais besoin qu’il me prenne, qu’il s’enfonce en moi, qu’il me baise comme il savait si bien le faire. Mais je me concentrais encore un peu sur sa bite.
    
    Finalement, ce fut lui qui interrompit ce traitement.
    
    — C’est mon tour de te donner du plaisir ma belle.
    
    Il m’installa sur son bureau comme il l’avait si souvent fait. Il écarta mes cuisses de ses mains avant de remonter ma jupe. Il écarta la ficelle de mon string, prit sa bite avec sa main et commença à l’enfoncer lentement dans mon vagin. Nous poussâmes un soupir de contentement en même temps. Quand il fut totalement en moi, il ressortit entièrement avant de recentrer ...
    ... brusquement. Je collais ma tête contre son épaule pour étouffer mes cris de plaisir. Il me besognait comme un bûcheron besogne la fermière au fond d’une grange: sans douceur, on recherche juste le plaisir du sexe et rien de plus.
    
    Il me prenait de plus en plus vite. Mais il n’était pas près de jouir, ce mec avait une super endurance.
    
    Il se retira totalement de ma chatte, me fit descendre de son bureau et me retourna. J’avais les seins écrasés sur son clavier d’ordinateur, avec mes mains, je m’accrochais aux bords de son bureau. De nouveau, il enfonça sa bite et entreprit de me baiser en me traitant de salope, de petite pute, de cochonne. Ces mots ne faisaient qu’augmenter mon excitation et réveiller ma fureur. J’avais envie de le chevaucher, de le griffer de le mordre ! Mais le moment n’était pas propice à ce genre de traitement.
    
    Je sentais la jouissance monter de plus en plus vite. Philippe aussi commençait à souffler de plus en plus fort.
    
    — Vide-toi dans ma chatte mon beau, donne-moi tout ton jus.
    
    Alors que je prononçais ces mots, quelque chose arriva. Je vis la poignée de la porte du bureau se baisser ! Philippe vit la même chose que moi. Il ne fallait pas que nous soyons surpris. Philippe était marié à une autre prof de la fac. Pour ne pas que nous soyons surpris, il me mit la main sur la bouche pour étouffer mes cris. Mais plus que de la peur, nous ressentions de l’excitation. Je le sentis se contracter et se vider en moi en grognant alors que j’atteignais ...