Doctorante (3)
Datte: 14/04/2020,
Catégories:
Hétéro
Auteur: bbrue, Source: Xstory
Retour à la maison...
Après notre partie de jambes en l’air à 10 000 mètres d’altitude, je me suis profondément endormie contre l’épaule de Malik. Je ne me suis réveillée qu’en sentant le choc du train de l’avion contre la piste d’atterrissage. Enfin ! Retour à la mère patrie, mon pays bien aimé, le royaume des bites serviles !
À l’ouverture des portes de l’avion, Malik se faufila vers la sortie, et je ne l’ai plus revu. Ça ne me faisait rien, il avait été pratique, mais rien de plus.
Je retrouvais mon directeur de thèse pour passer les contrôles de la police aux frontières et récupérer nos bagages. Il avait commandé un taxi, il me déposa chez moi avant de continuer sa route.
Si le sexe est ce qu’il y a de meilleur sur terre, il est suivi de près par la bonne douche post-voyage. J’adore sentir le jet d’eau bien chaude presque brûlante courir sur mes épaules, couler le long de ma peau. J’adore cette sensation de chatouillis lorsque le jet frôle quelques zones sensibles comme les tétons ou le clitoris. Ça ne vaut pas une bonne bite bien dure, mais ça peut détendre. Et c’est le parti que je pris sous la douche me détendre en maintenant le jet tout contre ma chatte. J’y gagnais un bon orgasme ! Je m’essuyais soigneusement avec ma serviette avant de me glisser avec délices entre mes draps et m’endormir profondément.
Le lendemain, rafraîchie et reposée, je décidais d’aller faire un tour à la fac ; histoire de faire acte de présence. Les doctorants disposent du ...
... laboratoire de recherche ainsi que d’une bibliothèque privée qui se situent dans le bâtiment des bureaux des profs. Je toquais à la porte de mon directeur de thèse et je le saluais rapidement avant de repartir vers le labo.
En chemin, je croisais plusieurs collègues ainsi que plusieurs enseignants de l’université. Parmi ces enseignants, il y avait quatre hommes et j’avais couché avec trois d’entre eux, dont deux en même temps (il faudra que je vous raconte ça). J’ai donc eu droit à quelques sourires coquins.
Il n’était même pas dix heures, et j’étais déjà mouillée d’excitation. Je savais quoi faire.
Je passais déposer mes affaires sur mon bureau, mais je n’avais pas du tout l’intention de travailler. Je me rendis dans le bureau d’un professeur de droit public. Je toquais à la porte, il m’invita à entrer:
— Bonjour Philippe, tu vas bien ?
— Salut ma petite Astrid, alors ce voyage ? Boulot ou plaisir ?
— Tu me connais ! Toujours les deux ensemble. En parlant de ça, j’aurai besoin de ton aide...
— Pas de soucis, tu as des problèmes pour tes recherches ?
— Tu m’as mal comprise... Je n’ai pas de problème pour le boulot, mais pour le plaisir...
— Je vois ! Verrouille la porte petite salope et je vais arranger ça sur-le-champ !
Voilà un homme qui comprend vite et bien. Je me retournais pour verrouiller la porte et en lui faisant de nouveau face, je remarquais encore une fois sa rapidité toute louable. Il avait ouvert son pantalon pour sortir une bite qui ...