Le club devient Notre lieu - Histoires de Sexe

Le club devient Notre lieu

... l’excitation et le désir avait fait place sur la fin à la jalousie. Lui, qui jamais n’avait été jaloux, ressentait un sentiment nouveau. J’en étais désolé et lui assurais que lui seul comptait. Il me crut, car il n’avait aucune raison de douter de ma sincérité.

Je me souviens qu’à peine arrivés à la maison, il m’expliqua qu’il fallait qu’il jouisse encore, que son excitation n’avait pas baissé d’un pouce et qu’il n’allait pas réussir à dormir dans cet état. Je trouvais cela touchant et je le déshabillais pour le mettre au lit, comme un bébé.

Il me regardait avec insistance. Je me déshabillais et venais le rejoindre sous les draps, il ne bougeait pas. La lumière éteinte, je descendis sous les draps et le pris dans ma bouche. Il était encore tout dur et son sexe dégoulinait encore de liquide préséminal. Je le massais délicatement de mes mains et, à l’intérieur de ma bouche, ma langue jouait au jeu du chat et de la souris avec son gland. Il aimait.

Finalement, étant moi-même excitée, je décidais de monter sur lui. Je saisis son sexe tendu de ma main droite, et de ma main gauche, écartai mes lèvres intimes pour faciliter son introduction. Il rentra de tout son long. Il était toujours silencieux, entre fatigue et excitation. Il devait être très excité, car, après quelques va-et-vient, je sentis son souffle s’intensifier. Je caressais désormais ses bourses, tout en frôlant la base de son sexe. Il se contracta soudainement de plaisir au fond de mon intimité. Ça me plaisait de le faire cracher toute la semence qui restait dans ses couilles, et, moi, j’en redemandais :

— Vas-y vide toi bien, offre-moi tes dernières gouttes.

Il ouvrait les yeux pour la première fois depuis qu’on était au lit. Il me sourit et s’endormit. Je l’aimais…