Le club devient Notre lieu - Histoires de Sexe

Le club devient Notre lieu

Octobre 2004.

Avec Fred, mon mari, nous sommes retournés plusieurs fois dans ce club, pour voir. J’avais besoin d’encore un peu de temps, pour être en confiance, pour franchir le pas de ce fantasme, le triolisme.

Bien sur, une fois Fred m’a demandé la permission de participer aux ébats d’un groupe, je l’ai laissé prodiguer un cunnilingus prolongé et se faire doucement sucer. Une autre fois, j’ai laissé un homme enlever mon chemisier pour lécher mes seins, mais je l’ai arrêté par la suite. Des petits riens, petit à petit, pour se sentir dans ce club, comme chez nous.

Et puis, quelques mois après, nous nous sommes jetés à l’eau. Je ne sais plus exactement le jour où cela s’est passé, mais j’avais décidé le matin de me laisser aller. Un de ces matins où l’on se dit :

— Aujourd’hui, c’est la bonne !!

Donc, avec mon mari, nous nous sommes retrouvés dans cette salle de rencontre que l’on commençait à bien connaître, et comme à l’habitude on regardait les couples, les groupes. On s’était assis sur l’un des canapés avec une petite table sur laquelle on s’appuyait, et, tout en se racontant « le spectacle » (ça nous excitait de décrire ce qu’on voyait l’un à l’autre), je glissais un petit :

— Ce soir, je me sens d’humeur d’essayer un truc à trois.

Fred me regarda, avec complicité. Il savait que ce moment arriverait tôt ou tard, mais sans doute ne pensait-il pas que cela viendrait si vite. Il sourit et me caressa la joue. Il était content, je pouvais le ressentir. ...

... Il me demanda si j’avais quelqu’un en vue. Je lui souris et lui désignai un jeune homme, brun, assez grand, genre grand ténébreux qui se tenait à quelques mètres de nous. Il était au milieu d’un petit groupe d’hommes qui s’astiquaient le sexe devant le spectacle d’un couple prenant son plaisir en public.

Cela ne nous avait jamais tenté de faire l’amour marital devant un public, de peur peut-être de se prendre au jeu et de le faire « comme à la maison », mais devant du monde. Quelle impudeur !! (Je sais c’est paradoxal de me part de penser ça).

Donc, mon mari se dirige vers cet homme et lui parle. Je peux très bien imaginer ce qu’il lui dit :

— Voilà, je m’excuse de vous déranger, mais vous voyez la femme là-bas (me montrant du doigt), c’est ma femme, et elle aimerait beaucoup que vous la baisiez, là, maintenant.

À la rapidité de la réponse, je compris qu’il était d’accord. À la bonne heure !! Ils arrivèrent tous les deux, l’homme ayant remis son engin dans son étui. Je l’invitais à s’asseoir à côté de moi, et je me laissais aller à lui poser toute sorte de questions, afin de me mettre en confiance, son nom, son âge, sa profession, ses hobbies, ce qu’il pensait du club, si je lui plaisais…

Après 10-15 minutes, il m’embrassa et je me laissais tomber en arrière. Il en profita pour retirer ma culotte sous ma jupe, puis plaqua ses mains sur mes seins. Il allait vite en besogne. Il embrassait mes jambes, et remontait avec ses baisers vers l’intérieur de mes cuisses, ...