Roberto
Datte: 13/04/2020,
Catégories:
hh,
hplusag,
hagé,
magasin,
hsoumis,
Oral
préservati,
hsodo,
Auteur: Janou, Source: Revebebe
... je lui suce le gland en utilisant bien ma langue.
Je ne le crois pas : je suis en train de sucer l’homme qui m’a tant fait fantasmer toutes ces nuits. Je suis là, à genoux, dans cette fraîche pénombre. J’assume enfin ce fantasme que j’ai mis tant de temps à m’avouer.
Roberto, que j’avais fini par oublier, pousse maintenant de petits râles saccadés en soufflant de plus en plus fort, il m’appuie doucement sur la tête afin de bien sentir sa queue au fond de moi. Il me saisit sous la mâchoire, et d’un mouvement me fait comprendre de me lever ; je le suce encore quelque instant puis je m’exécute, laissant sa queue prête à exploser.
Je suis maintenant debout face à lui, son regard est brillant, il semble avoir du mal à se remettre de ma prestation et je sens son désir au maximum. Il me prend par une épaule, et d’un mouvement circulaire me retourne contre une table-présentoir en bois sur laquelle je pose mes deux mains en appui.
Je ne bouge plus. Je me laisse totalement faire, je n’ai aucune réaction sur ce qui m’arrive, j’ai la tête légèrement inclinée et je ferme les yeux.
Roberto déboutonne mon jean, le saisit à deux mains et me le baisse d’un coup jusqu’aux chevilles ; le slip vient avec. Il pose ses deux mains sur mes fesses et me caresse avec vigueur, il me malaxe les deux lobes en les écartant par moments.
Il se libère de son pantalon qui lui enserrait les chevilles et se met à genoux derrière moi ; son souffle chatouille mes fesses. De ses deux mains, il ...
... m’écarte de nouveaux les lobes et je sens quelque chose de chaud et humide sur mon anus. C’est délicieux : il me bouffe le cul avec sa langue ; c’est la première fois que je connais une telle sensation… Je délire, pousse de petits râles et m’accroche de plus belle à la table.
Je cambre les reins et pousse mes fesses contre son visage qui me dévore si sublimement l’intimité. Il s’arrête ; après sa langue, je sens maintenant son doigt contre mon anus. Il l’appuie avec insistance. Je lui facilite le passage en relâchent mes sphincters. Il finit par avoir raison de mon cul. Il continue sa progression, s’arrête un instant, repart en arrière puis recommence.
Il me branle le cul avec un doigt puis deux ; c’est un peu désagréable au début, mais bien vite le désir monte en moi. De son autre main il me saisit la queue et me branle légèrement.
Mes grands mouvements de hanches contre ses doigts montrent que je suis prêt à subir tous ses assauts.
Il retire délicatement ses doigts et se relève derrière moi. Je ne bouge plus de cette position, offert et soumis.
J’attends, et j’entends le silence si pesant de ce magasin vide et le bruit étouffé de la rue. Rien ne se passe. Il se penche et se relève ; il vient de saisir quelque chose dans son pantalon : il s’agit d’un préservatif.
— Tu avais tout prévu, mon doux salaud !
Après avoir ouvert le papier alu avec une certaine nervosité, il contemple un instant le préservatif en l’écartant, puis le place tel un chapeau sur le ...