Roberto
Datte: 13/04/2020,
Catégories:
hh,
hplusag,
hagé,
magasin,
hsoumis,
Oral
préservati,
hsodo,
Auteur: Janou, Source: Revebebe
... continue.
De nouveau, il me saisit par les hanches et reprend sa progression. Tel un pieu, il s’enfonce doucement en moi ; je sens chaque centimètre de sa queue me pénétrer, je ferme les yeux, en soufflant.
J’ai l’impression que mon ventre s’enflamme et je sens monter ma jouissance ; rien ne semble pouvoir l’arrêter, il continue lentement à m’enculer.
Il s’arrête un instant, recule puis recommence encore. J’ai les yeux fermés et la tête relevée, renversée en arrière, j’inspire profondément ; il s’arrête une fois encore, me saisit par les épaules de ses deux mains, et d’un grand coup de reins m’encule jusqu’à la garde.
Sous la puissance de son assaut, je hurle ma jouissance !
— C’est sublime, n’arrête pas… Je suis à toi… Je suis ta petite femme… ta grosse salope…
Je sens maintenant son pubis ainsi que ses grosses couilles velues contre mon cul bouillant, pourfendu par sa queue plantée au plus profond de moi.
Il ne bouge plus. Il halète et souffle dans mon cou. Il se retire presque entièrement ; la sensation est sublime, mais au moment où son gland arrive sur l’anneau de mon anus, il me pénètre de nouveau jusqu’à la garde d’un coup de reins.
Je crois m’évanouir de plaisir, et de nouveau je sens ses grosses couilles contre mon cul. Mes jambes tremblent et ont du mal à me tenir debout.
Il recommence, de petits puis de longs va-et-vient ; il va doucement lorsqu’il se retire pour ensuite m’enculer puissamment.
Une chaleur intense m’envahit ; je sens ...
... ses allers et retours au fond de mes entrailles, je suffoque, grogne, gémis… Je feule plus que ne crie :
— Oui, vas-y, prends-moi bien, donne-moi tout…
À ces mots, il redouble d’intensité. Il me pilonne le cul ; c’est délicieux. À chaque retour, il ressort sa grosse queue de mon cul pour la remettre ensuite plus profond à chaque fois.
Avec sa main, il branlouille ma petite bite légèrement bandée au milieu de ma touffe de jeunes poils sombres. De nouveau le mouvement s’accélère ; il arrête pour me prendre par les épaules, il m’empale une dernière fois, et dans un souffle rauque il décharge dans la capote, de longues giclées de sperme dont je sens la chaleur au fond de mon cul.
Au même instant, mon orgasme s’intensifie et je décharge également dans sa main qui m’enserre. Mes jambes vacillent, ma tête va exploser, je souffle. Il ne bouge plus. Je m’affale sur la table. Je sens sa queue ressortir doucement de mon cul ; il la frotte de bas en haut sur ma raie, m’encule de nouveau jusqu’à la garde deux ou trois fois puis se retire, et plus rien.
Je reste un instant sans bouger ; mes jambes ne me portent plus, je m’effondre à terre au pied du comptoir.
Je sens des palpitations sur mon anus échauffé et dilaté par tant de passion ; je reste sans dire un mot.
Péniblement, je me relève, lui prends la main et j’embrasse Roberto à pleine bouche.
— Mets-toi à quatre pattes : je vais te prendre en levrette. Viens, ma chatte…
Je m’exécute et présente mon cul de jeune ...