1. Mourir de plaisir


    Datte: 12/04/2020, Catégories: fh, couple, parking, amour, volupté, noculotte, BDSM / Fétichisme Oral pénétratio, init, méthode, journal, Humour Auteur: Karine2x, Source: Revebebe

    ... Karine en vamp. J’espère qu’il va aimer. Une prochaine fois, je me ferai teindre en blonde filasse, rien que pour voir sa tête.
    
    Premier acte.
    
    J’attends devant la porte d’arrivée des passagers. L’avion est annoncé, atterrissage imminent. Prise par une inspiration subite je tape un SMS à son intention.
    
    Je t’attends dans le hall d’arrivée. Je n’ai pas de culotte et j’ai la chatte en feu à la pensée de te retrouver.
    
    En attendant ses bagages, il va allumer son portable, j’en suis sûre. Cela va le chauffer, mon petit Mari. Je file dans les WC retirer mon petit slip en dentelles et je le fourre dans mon sac à main.
    
    Je ne suis pas du tout à l’aise, ça me fait tout bizarre, je n’ai pas l’habitude de sentir l’air froid sur mon entrejambe. Je me fais l’effet d’être une vraie salope. Heureusement que j’ai mon trench, sinon, sur l’escalier mécanique, le pépé derrière moi aurait eu une attaque.
    
    Où est-il, mon homme ? Ça y est ! je le vois, tirant sa valise. Punaise qu’il est beau ! À chaque absence prolongée, en le voyant revenir, j’ai le même coup de foudre. Je lui trouve du charme, de la classe. Grand, beau, séduisant. Il m’a repérée. Un grand sourire illumine son visage.
    
    Il s’approche, me prend dans ses bras. Je lui saute au cou et tout mon corps se plaque sur le sien pour un baiser enflammé. Le monde n’existe plus, juste nos langues qui se mêlent… une boule de feu qui enfle dans mon bas-ventre et, collée à mon pubis, la bosse dure de son sexe.
    
    Je refais ...
    ... surface, j’ai soudain conscience que nous faisons le spectacle, les regards sont braqués vers nous, rigolards, gênés, voire offusqués. Je suis une call-girl qui est venue chercher un de ses clients habituels.
    
    Je les emmerde. C’est mon mec. Je l’aime.
    
    Nous partons, enlacés, vers le parking souterrain. Je regarde mon chéri ranger sa valise dans le coffre de la voiture avec le sentiment d’être une femelle en chaleur qui retrouve son mâle. Il claque le coffre, se tourne vers moi, m’attrape par la taille, m’embrasse.
    
    — C’est vrai que tu n’as pas de culotte ? me demande-t-il en remontant ma petite jupe pour me mettre la main aux fesses.
    
    Il constate et pousse un gloussement de plaisir en découvrant le porte-jarretelles.
    
    — Tu es la femme idéale, me dit il avec un sourire radieux, belle, intelligente, amoureuse et brûlante.
    
    Je fonds sous l’hommage ! Il avait épousé une chenille et je suis devenue le papillon de ses rêves.
    
    — Je vais te prendre ici, tout de suite, m’annonce-t-il.
    
    C’est comme s’il avait parlé directement à ma chatte, je la sens s’ouvrir comme une fleur, se liquéfier, s’inonder.
    
    — Mais… mais… chéri, il n’y a personne, mais il y a sûrement des caméras de surveillance, balbutiai-je.
    — Et alors ? J’ai le droit de baiser ma femme. C’est un cas d’urgence.
    
    Il me culbute, le dos sur le capot de la voiture, remonte ma petite jupe, libère son sexe et m’embroche d’un coup de rein, à la hussarde. J’échappe un cri, tellement la sensation est forte. ...
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