L'étudiante nouvelle vie (3/3)
Datte: 11/04/2020,
Catégories:
Entre-nous,
Hétéro
Auteur: BAGOU, Source: Hds
... restais circonspect et attendis. Elle sortit et son regard se porta tout de suite au loin, sur la vallée en contrebas qui offrait un paysage féérique aux yeux. La montagne était derrière, aussi imposante que superbement dessinée, tel le dos de l’un de ces dinosaures en forme de gigantesques dents. Elle regarda des deux côtés et oh miracle ! Elle fut saisie de la beauté des lieux, oubliant l’incongruité de la situation : que venait-elle donc faire ici, elle, la femme mariée ? Je lui cédai le pas et entrâmes dans l’hôtel où me fut remis à la réception la clé de la chambre – un superbe studio donnant justement sur les deux paysages d’un côté et de l’autre, encore que la montagne nous fût en partie cachée par un mur aveugle de l’une des façades de l’hôtel sur lequel donnait de biais la fenêtre du studio contiguë à la porte. En face, la porte-fenêtre ouvrant sur un balconnet permettait au contraire d’avoir toute la vallée à nos pieds. Nouvelle surprise de ma partenaire en entrant dans le studio impeccablement conçu et meublé et, sublime récompense, elle vint déposer un baiser aérien sur ma joue.
Je la saisis prestement par le poignet avant qu’elle n’ait effectué un pas en arrière et passai mon autre main derrière sa nuque pour l’attirer à moi. Sa bouche s’ouvrit et vint se coller à la mienne. Le même baiser mouillé qu’au bureau nous unit pour de longues minutes, hormis que je débordais à présent sur les contours de sa bouche, sur son menton, son nez (que j’aspirai et suçais ...
... comme une tranche d’orange) avant de revenir à son palais à la rencontre de sa langue. Elle salivait déjà et me transmettait en partie sa salive que j’avalais goulument tandis qu’elle me massait de sa main tout le torse à même la chemise. Sans doute s’était-elle elle aussi préparée à cette rencontre et avait-elle reçu sa part de tension libidinale avant qu’on se retrouvât dans la chambre ?! En tous cas elle n’avait rien laissé paraître tout au long de la route et c’est quelque peu surpris par son entrain que je m’appliquais à lui prendre tout ce qu’elle offrait à ma bouche de la sienne.
Je me mis à la déshabiller fébrilement, comme à une première fois. Elle m’aida en enlevant sa jupe tout en se débarrassant elle-même de ses chaussures par de simples contorsions du pied, tandis que je m’escrimais à lui retirer le soutien-gorge après le chemisier. Nos bouches se retrouvaient par intermittence en des baisers plus frustes. Jupe, chemisier et soutien-gorge volèrent vers le fauteuil qui se trouvait au pied du lit. Elle était à présent en petite culotte, tandis que j’étais encore tout habillé. Je défis la ceinture, le bouton et la fermeture-éclair du pantalon qui tomba à mes pieds et retirai les chaussures aussi vite que ce me fut possible, pour paraître moi aussi en slip et en chemise. Nous nous mîmes à deux pour défaire les boutons de la chemise qui vola elle aussi vers le fauteuil tandis que je m’extirpai du pantalon entortillé sur mes chevilles. Tout comme elle, je n’avais plus ...