1. Les moulins de mon coeur


    Datte: 11/04/2020, Catégories: ff, extracon, Collègues / Travail caférestau, amour, jalousie, Masturbation Oral 69, amourdura, Auteur: Adrien, Source: Revebebe

    ... dégénèrent vite en une masturbation mutuelle. Cette fois c’est moi qui jouis la première puis c’est son tour, pendant un long baiser.
    
    Nous nous séparons à la porte de l’ascenseur sur la promesse de rester en contact et de nous revoir très rapidement.
    
    Le trajet en voiture jusque chez moi me permet de repasser de l’autre côté du miroir, là où Alexia n’existe pas.
    
    Je fais mentalement ma check–list : en arrivant il me faut remettre les mêmes vêtements que ce matin. Même si Bénédicte ne m’a pas vue habillée, elle sait bien qu’il n’est pas dans mes habitudes de porter une jupe pour aller au boulot.
    
    J’ai à peine fini de me changer quand elle arrive à son tour. Elle me raconte sa journée qui a été dure. Pour finir elle me demande ce que j’ai fait de mon après-midi :
    
    — Je n’ai pas bougé d’ici ; j’avais trop de corrections, dis-je en désignant le tas de copies sur la table du salon. J’ai aussi fait la sieste.
    — Veinarde ! Remarque, comme ça tu auras la forme ce week-end. J’ai très envie de faire l’amour.
    
    Disant cela, elle se love contre moi et nous nous embrassons.
    
    Ce soir-là, je traîne seule devant la télévision en sourdine un livre à la main. J’attends d’être sûre que Bénédicte soit endormie pour aller me coucher. Quand j’estime le moment propice, j’entre dans la chambre à pas de loup et dans le noir.
    
    — Tu en as mis un temps, dit Bénédicte d’une voix endormie.
    — Excuse-moi, rendors-toi.
    — Mais… je t’attendais.
    
    Elle allume la lumière, ce qui lui fait ...
    ... plisser les yeux. Elle est nue sous la couette. Elle trouverait bizarre que je ne la désire pas.
    
    — Attends, je vais m’occuper de toi, dis-je en éteignant sa lampe.
    
    Je me déshabille et me glisse vers le fond du lit. Je me place entre ses cuisses – qu’elle ouvre largement – pour lui faire un cunnilingus. J’ai envie que ça ne dure pas trop longtemps mais je ne veux pas qu’elle s’aperçoive d’un quelconque manque d’entrain de ma part. Je m’applique du mieux que je peux pour qu’elle jouisse rapidement mais elle fait durer. Soudain, elle me tire vers le haut du lit et se place sur moi pour un soixante-neuf. Je sens à nouveau qu’elle prend son temps.
    
    J’ai hâte d’en finir. Mon esprit vagabonde et évidement c’est à Alexia et à l’après-midi passé avec elle que je pense.
    
    Les ondulations du bassin de Bénédicte qui se font de plus en plus rapides et amples me tirent de mes rêveries. Sa bouche quitte mon sexe et elle se relève, en appui sur les bras. Sentant que l’orgasme monte en elle, j’intensifie ma succion de son clitoris et, profitant de sa position, je lui caresse les mamelons. Elle jouit en ahanant.
    
    J’en resterais bien là de nos ébats mais cela n’est pas dans mes habitudes de ne pas prendre mon plaisir après en avoir donné. Cela pourrait lui paraître étrange.
    
    Une fois assouvie, elle me demande :
    
    — Tu n’as pas l’air en forme.
    — Je suis juste un peu fatiguée.
    — Tu aurais dû venir te coucher plus tôt. Qu’est-ce qui t’a pris de regarder la télé si tard ?
    — Je lisais ...
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