1. Un stage à Paris


    Datte: 11/04/2020, Catégories: fh, 2couples, alliance, extraconj, boitenuit, Auteur: Pradel, Source: Revebebe

    Un stage à Paris en juillet conduit ma belle-sœur de vingt et un ans à habiter chez nous. Mon épouse et nos deux jeunes enfants sont à la mer. Mon emploi m’absorbe. La première semaine passe vite. Le vendredi soir, nous descendons au Quartier Latin.
    
    Sophie porte une robe d’été qui la met en valeur. Je l’entraîne dans un restaurant italien. Le rosé frais nous grise un peu.
    
    Après le repas nous nous promenons, et dégustons une glace sur l’île Saint-Louis. La nuit gagne, nous cherchons un taxi. Un clochard nous interpelle :
    
    — Hé les amoureux, vous n’avez pas une petite pièce ? Il fait soif.
    
    Je lui donne 5 F, il nous remercie en criant :
    
    — Votre pièce vous portera chance, vous allez passer une belle nuit !
    
    Sophie et moi éclatons de rire. Je la serre contre moi et l’embrasse.
    
    Dans le taxi, je pends sa main, elle se détend, somnole dans le confort de la DS.
    
    Arrivé à l’appartement, je lui propose un rafraîchissement :
    
    — Oui, merci, je file sous la douche, on boit après ?
    
    Je prépare des jus de fruits sur la table du salon, feuillette une revue. Elle revient vêtue d’un tee-shirt long, s’assoit, s’étire, boit une gorgée, s’allonge sur la banquette, pose la tête sur ma cuisse.
    
    Je suis sidéré, je n’ose bouger.
    
    — Merci, j’ai passé une merveilleuse soirée.
    
    Après un silence je réponds, banalement :
    
    — Moi aussi
    
    Une érection monte, je suis gêné et excité. La lampe de salon est à ma portée, je l’éteins. Un halo de lumière éclaire faiblement la ...
    ... pièce.
    
    Je caresse ses cheveux, son cou, son visage. Son odeur m’envahit. Je suis tétanisé de désir. Sa respiration est ample, régulière, paisible. Ma gorge est serrée. Elle embrasse ma main. Je perds tout bon sens, glisse les doigts vers sa poitrine. Elle gémit. Je caresse, longuement ses seins magnifiques.
    
    Quand je pose ensuite la main sur son ventre, elle pose une main sur la mienne. Le ventre bouge imperceptiblement. Doucement je déplace ma main vers son pubis. Elle appuie sur ma main.
    
    Nous perdons toute retenue. Je remonte son vêtement, glisse la main sur sa vulve trempée. J’explore lentement les replis de son sexe, la broussaille de son pubis, le clitoris sensible, les lèvres gonflées. Elle se raidit, se cambre, gémit, jouit enfin dans un râle poignant.
    
    Je me redresse, l’assieds sur la banquette, plonge la bouche entre ses cuisses. Je déguste son sexe trempé, un peu acide. Je lape, mordille, lèche, suce. Mon visage se couvre de son plaisir. Quel merveilleux festin ! Quand je suis repu, je la fais lever, ôte son vêtement, l’entraîne vers la chambre.
    
    — N’aie pas peur, je prends ce qu’il faut.
    
    Je sais qu’elle a eu un ami. J’écarte ses cuisses, les relève, place mon gland sur sa vulve, essaie d’entrer mais elle est tendue, crispée.
    
    — Doucement… Détends-toi. Si tu as mal tu le dis.
    
    Je reste un moment immobile puis m’allonge sur le dos.
    
    — Viens sur moi, c’est toi qui vas…
    
    Elle me chevauche doucement, ses fesses fermes sous mes mains. Elle frotte sa ...
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