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Emilie dans le parc public
Datte: 08/04/2020, Catégories: Masturbation Voyeur / Exhib / Nudisme Mature, Auteur: pageblanche, Source: xHamster
... » Et il a légèrement accéléré le mouvement de son poignet. Il a dit : « Donc, tu es une petite princesse salope. » Je n’ai pas répondu. Je regardais sa queue. Il a poursuivi en disant : « Laisse-moi éjaculer sur ta culotte. » Je n’ai pas bougé, je n’ai rien dit. J’ai attendu. Il a dit : « Tu as juste à soulever ta tunique et à me laisser approcher ma bite. Je gicle sur ta culotte et je te donnerai un mouchoir en papier pour t’essuyer. Es-tu d’accord ? » Je respirais vite. Et lui aussi se branlait de plus en plus vite. Dans un soupir, j’ai répondu : « Tout de suite ? » « Oui. » Je n’ai pas bougé. J’ai dit : « Dites-moi d’autres mots. » « Quel genre de mots ? » « Ceux qui vous viennent à l’esprit. » « Tu es sûre de ça ? a-t-il dit en faisant un pas vers moi. » « Oui, ai-je répondu. » « Dans ce cas, petite fée, laisse-moi te dire que je vais barbouiller ta culotte de sperme. Tu aimes ? » Je n’ai rien dit. Je me suis contentée de soulever ma tunique pour montrer ma culotte à l’homme qui se tenait à présent à cinquante centimètres de moi, à peine. « Oh putain, a-t-il fait en fixant ma culotte du regard. » Elle était blanche, en dentelle, taille basse. Mes poils coupés très court dépassaient un peu. Le gland s’est ...
... approché à vingt centimètres et l’homme a dit : « Je vais rêver de toi, c’est certain. Tu es trop belle et tu as seize ans. Dès ce soir, je vais me branler encore en me souvenant de ta culotte. » Sur ces mots, tout en maintenant ma tunique relevée jusqu’à mon nombril, j’ai pincé l’élastique de ma culotte et je l’ai baissée un peu, de sorte à ce que l’homme puisse voir ma fine toison. Et là, il a collé son gland à mon pubis. Il a encore accéléré le mouvement de ses doigts et m’a regardé dans les yeux en disant : « Je vais gicler, petite merveille. » Je n’ai rien dit. J’ai porté un doigt à la fente de son gland, puis je l’ai vu fermer les yeux et il a gémi : « Je voudrais te voir toute nue. » Première giclée sur mes poils. Violente. « Je voudrais bouffer ta petite moule. » Deuxième giclée, dans mes doigts. Moins violente. « Je voudrais te pénétrer sans préservatif. » Troisième giclée, suspendue à son gland. « Je veux te faire un enfant. » Une dernière petite goutte jaillit de son gland et y resta collée. J’ai remis ma culotte en place, puis baissé ma tunique. L’homme respirait très vite et fort : Il m’a dit : « Tu ne veux pas t’essuyer ? » J’ai répondu : « Non, ce n’est pas grave. Je prendrai une douche chez vous. Avant de faire l’amour. » :::