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Emilie dans le parc public
Datte: 08/04/2020, Catégories: Masturbation Voyeur / Exhib / Nudisme Mature, Auteur: pageblanche, Source: xHamster
... qu’une fille accepte ce genre de proposition. Pourtant, je ne leur demande pas grand-chose, sinon de me laisser les regarder pendant que je me branle. Qu’en dites-vous ? » J’ai haussé l’épaule et dit : « Je ne sais pas… Pourquoi pas ? » « Bien, a dit l’homme. Dans ce cas, je vous propose qu’on aille dans le sous-bois. Je vous trouve vraiment ravissante. » On a quitté le banc et je l’ai suivi. Sur le chemin, je lui ai demandé combien de temps il lui fallait pour éjaculer et il a dit : « Tout dépend si on reste silencieux ou si on se parle. En silence, je peux mettre dix minutes, voire un quart d’heure. » « Et vous voulez qu’on parle de quoi ? ai-je dit. » « De vous. » « C’est-à-dire ? » « De votre corps, par exemple. Ou de ce que vous faites avec les garçons. De ce que vous aimez… » Je n’ai rien dit. On est entré dans le sous-bois et on a marché pendant une bonne minute, de sorte à ne plus être visible depuis les allées du parc. Puis l’homme s’est arrêté d’un coup et m’a regardé en disant : « Ici, ce sera bien. Pouvez-vous vous tenir à deux mètres de moi ? » J’ai reculé d’un pas. « Bien, a-t-il dit en baissant sa braguette. Avez-vous déjà vu un homme se branler devant vous, mademoiselle ? » Je l’ai regardé sortir sa bite en répondant : « Parfois, mais brièvement. Des mecs avec qui je suis sortie. » « Des mecs qui se sont un peu touchés avant de vous pénétrer ? » « Oui, ou avant que je les suce. » « Vous aimez sucer, ...
... mademoiselle ? » J’ai haussé l’épaule et dit : « Ben oui. » Sa bite grossissait entre ses doigts. Un beau gabarit. Il a continué : « Moi, j’aime votre corps mince. Je raffole des corps minces et des petits seins. Et les vôtres sont petits. Vous me faites bander. » Je me suis contentée de sourire, sans quitter sa bite des yeux, et il a dit : « Ça vous fait quoi de faire bander un homme ? » J’ai cherché mes mots. Sa bite était raide. « C’est flatteur, ai-je dit. » Il a souri, sans cesser d’astiquer sa queue. « Je peux être encore plus flatteur, si ça ne vous choque pas. » « Allez-y. » « Je pense que tu as une belle petite chatte. » Je n’ai rien dit. Il venait de décalotter son gland qui était tendu à souhait. Il était mauve et il luisait un peu sous les rayons de soleil qui perçaient les feuillages au-dessus de nos têtes. Il a ajouté : « Je vois que mes mots ne te choquent pas. » J’ai fait non de la tête et répondu : « Il en faut plus pour me choquer. » « Vraiment ? Je peux continuer alors ? Tu ne serais pas choquée si je te disais que tu dois avoir un joli petit cul d’adolescente ? » C’est là que j’ai commencé à mouiller. C’étaient les termes exacts que mon prof d’anglais avait employés, deux ans auparavant, après que j’ai baissé ma culotte devant lui, en lui tournant le dos. Il m’avait dit précisément : « Je vais te bouffer ton petit cul d’ado. » Alors j’ai répondu à l’homme : « Je ne suis pas choquée. ...