Vive les mariés
Datte: 08/04/2020,
Catégories:
Anal
Gay
Partouze / Groupe
Auteur: etienneguy48, Source: xHamster
... pris en bouche sans attendre. Déjà, je pouvais entendre sa respiration s'accentuer. Je n'avais qu'une envie, c'était de le déshabiller pour regarder à souhait son corps musclé. Et soudain, son cellulaire laissa entendre un vrombissement. Il le sortit de la poche de son pantalon et lu le texto avant d'y répondre, tout cela pendant que je le suçais. Il lança son cellulaire sur le fauteuil avant de m'obliger à me relever, posant ses lèvres sur les miennes.
- Je te promets que tu vas t'amuser, me dit-il avec son accent si sexy. Un corps comme le tien se doit d'être honoré. Je fronçai légèrement les sourcils, ne sachant trop ce qu'il voulait dire par "honoré" mais je n'eus pas à attendre très longtemps avant de le savoir. Soudain, la porte s'ouvrit, laissant entrer quatre mecs, tous aussi latino les uns que les autres. Voici mes cousins Angelo, Arnaldo, Alvaro et mon frère Carmelo, me les présenta-t-il, tout à fait à l'aise au fait qu'ils étaient tous de sa famille. Et moi, je me nomme Vittorio, poursuivit-il en déboutonnant ma chemise tandis que les autres me caressaient sur tout le corps. Tu te laisse faire et nous nous occupons de te donner le plus grand plaisir que tu n'as jamais connu.
J'étais aux anges. Cinq mecs, tous latinos, pour moi. Déjà, ces dix mains me débarrassaient de mes vêtements, me retrouvant nu dans le temps de le dire. L'un d'eux me poussa, m'obligeant à m'étendre sur le lit. Et Vittorio reprit son cellulaire qui laissa entendre une musique ...
... émoustillante. C'est alors que j'eus droit au plus beau spectacle. Les cinq mecs se mirent à se déhancher, enlevant tranquillement leurs vêtements, s'entraidant les uns les autres en s'embrassant tendrement jusqu'à ce qu'ils se retrouvent tous nus. Et Vittorio s'approcha de moi avant d'engloutir ma queue tandis que les autres se placèrent autour de moi, Arnaldo me présentant son cul de sorte à ce que je puisse le lécher à grands coups de langue. Tous des mecs dans la trentaine, au max de leur capacité sexuelle. J'étais le mec le plus heureux de retrouver ma vie, si loin de cette certitude qu'un seul mec pouvait m'apporter le bonheur. Au moment présent, je savais que jamais plus ma vie n'allait se concentrer sur un homme en particulier car tout mon corps m'expliquait clairement que j'avais ce besoin ultime de sentir que je plaisais toujours à cinquante-deux ans et ces cinq mecs me le prouvaient clairement.
J'avais cette envie folle de sentir une queue dans mon cul, de la sentir se promener en moi, de la sentir me labourer à grands coups et je me tournai sur le ventre, offrant ma rosette à qui le voulait bien. Vittorio fit signe à son frère Carmelo d'approcher, ce qu'il fit sans se faire prier avant de m'enfoncer sa verge bien profondément pendant que je suçais avidement Arnaldo. Angelo et Alvaro, eux, s'embrassaient tendrement tout en se caressant devant moi jusqu'à ce que Vittorio embroche Angelo. Pendant que Carmelo me labourait farouchement, je regardais Vittorio enculer son propre ...