Ayaan, un autre monde
Datte: 08/04/2020,
Catégories:
fh,
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Auteur: Karine2x, Source: Revebebe
... confiance, il me responsabilise.
Vibrante de désir, je glisse sous la couette pour le prendre dans ma bouche. En quelques secondes, il prend sa taille maxi. Je le chevauche, je positionne son gros gland à l’entrée de mon minou brûlant. Je me laisse lentement descendre savourant le plaisir de sentir mon vagin se déplier et s’inonder pour accueillir le sexe de l’homme que j’aime. Punaise… il n’y a rien de mieux. Quel intérêt de vouloir essayer avec une femme ?
Je commence une lente chevauchée, Pierre en profite pour martyriser mes petits seins à pleine main comme pour en éprouver sadiquement leur élasticité, leur sensibilité. Ayant une envie folle de l’embrasser, je me penche en avant comme sur un cheval au galop. Du coup, délaissant ma superbe (restons réaliste) petite poitrine, il me tient par les hanches pour accompagner du pubis le rythme du tagada tagada tsoin tsoin imprimé par ma chatte endiablée. Jamais à court d’idées lubriques, il tente une variation. Un petit doigt coquin se met à jouer avec mon petit trou sans défense vu la position.
— Eh ! Que fais-tu ?
— Rien du tout. Pourquoi ? Tu sens quelque chose ?
— Ce n’est pas que je n’aime pas ce petit massage lubrique, c’est que m’enfoncer un petit doigt de ce côté te fait péter les plombs d’habitude. J’ai droit à une explosion trop rapide de ta grosse saucisse du côté principal.
— Tu as raison, ça m’excite trop. Comme je ne vais pas te revoir avant 15 jours, je n’ai aucune envie de jouir trop vite. ...
... Changeons.
Pierre me fait prendre diverses positions ludiques et acrobatiques rarement utilisées. Une sorte de gym sexuelle sollicitant des muscles divers pour arriver à tenir la position, puis bouger et la pénétration prend une autre saveur. Je me laisse faire heureuse de me soumettre à ses caprices, heureuse de faire renaître son désir plusieurs fois. Pourtant, à chaque fois qu’il me fait crier de plaisir, je me demande si Ayaan crie autant que moi et quand, épuisé, il tombe de sommeil, je continue de me caresser une dernière fois en pensant à elle, imaginant que ce sont ses doigts magiques et non les miens qui s’activent entre mes cuisses.
Au petit matin, je conduis mon mari à Roissy.
Pendant une semaine au lieu de décrocher mon téléphone pour appeler Ayaan, je reste indécise. Il y a un truc qui me chagrine et auquel je n’avais pas pensé. Me faire faire des choses, d’accord, mais pour lui rendre la pareille, j’angoisse. D’abord, je crains de ne pas être bien douée et ensuite, en pure hétéro, je ne suis pas sûre du tout du tout d’en avoir envie. Je me vois très mal au moment crucial enfoncer mes doigts dans sa chaudière surchauffée et jouer au game-boy avec son clito.
Du coup, suivant une suggestion de Maud, je passe quelques-unes de mes soirées à mettre en forme les deux premiers chapitres de mes souvenirs érotiques et je les diffuse sur Revebebe (le meilleur site toujours d’après Maud). La seconde semaine, ma libido en manque l’emporte sur mes appréhensions. Ayaan, même ...