1. Ayaan, un autre monde


    Datte: 08/04/2020, Catégories: fh, ff, couleurs, revede, fdanus, init, journal, initff, Auteur: Karine2x, Source: Revebebe

    ... caresser l’endroit de manière appuyée, enfonçant la fine étoffe dans sa fente, remontant à la recherche de son clitoris. Punaise, comme il est gros ! Rien à voir avec mon minuscule bouton, constatais-je.
    
    Ayaan apprécie et se remet à onduler du bassin de plus en plus vite. Ses hanches semblent prises de folie. Elle est en train de se masturber sur mes doigts, réalisais-je. Sa tête part en arrière, elle vient poser sa joue contre la mienne. Je ne résiste pas à cet appel, le ventre en feu, je rentre ma main dans la petite culotte devenue gênante, la fais descendre, je pénètre la forêt de sa toison, mes doigts glissent sur les poils pubiens, rencontrent des petites lèvres trempées, s’insèrent dans sa fente, retrouvent le gros bouton, qui ressemble plutôt à une petite tige dure comme du bois. Mon autre main quitte son ventre, remonte, s’empare d’un sein ferme et élastique. Je le soupèse, le prends à pleine main, le malaxe, étire et pince le téton comme j’aime me le faire à moi-même.
    
    — Oui, Karine, murmure-t-elle en fermant les yeux.
    
    On va basculer sur le lit. Non ! À ma grande surprise, elle se retourne et m’annonce joyeusement :
    
    — Karine, je vais faire un thé. La cérémonie du thé est importante chez nous, elle précède toute chose.
    
    Me voyant complètement étonnée, elle éclate de rire et explique :
    
    — Karine, l’attente fait partie du plaisir.
    
    Comme je reste abasourdie, elle ajoute :
    
    — Karine, ne sois pas comme un homme. Ils sont pressés, car ils ne ...
    ... tiennent pas la distance. Nous, nous avons toute la nuit, explique-t-elle en riant de plus belle.
    
    Elle revient avec la théière brûlante et s’assied en tailleur devant la petite table basse.
    
    — Ayaan, comment peux-tu être si gaie, si insouciante en ayant eu une vie pareille ?
    — Mais, Karine, je suis heureuse. Je suis une privilégiée. Que serais-je devenue en restant là-bas ?
    
    Une privilégiée ! Punaise… Elle me donne une leçon dans tous les domaines.
    
    — Et puis, tu es là, continue-t-elle. Nous allons faire l’amour ensemble. Pourquoi serais-je triste ? Karine, tu es le genre de fille que j’aime.
    — C’est-à-dire ?
    — Grande, mince, brune. Tu es une fille du sud, ce n’est pas si loin de mon pays. Tu as des jambes parfaites, des petits seins superbes… et je sais que tu es très sensuelle, ajoute-t-elle en me faisant un clin d’œil avec son sourire envoûtant.
    
    Je la dévore du regard. Punaise, qu’elle est belle, cette fille ! Mes yeux glissent et fixent à travers ses poils pubiens, sa fente entrouverte, teintée du bordeaux sombre au rose clair. Une fente gonflée et toute luisante de désir. Remarquant mon regard, elle éclate de rire.
    
    — Tu me plais, Karine, je ne peux le nier. Bois ton thé avec du sucre pour prendre des forces, tu vas en avoir besoin. Le corps d’une femme est comme un instrument de musique, explique-t-elle avec une petite flamme dans ses yeux dorés, il y en a des mauvais et des bons. S’il est bon, il suffit juste de savoir en jouer pour en tirer des choses ...
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