Erotisme et cinéma (1) : Introduction à une nouvelle série
Datte: 07/04/2020,
Catégories:
A dormir debout,
Auteur: Olga T, Source: Hds
... accompagnant ceux de l’actrice sur l’écran.
Je suis d’autant plus nostalgique de la grande époque du cinéma porno que j’aurais adoré être «hardeuse», sans avoir besoin de simuler le plaisir. C’est logique pour une hypersexuelle et un plaisir qui aurait été d’exercer un métier où j’aurais pratiqué ce que j’aime le plus faire : me faire baiser.
A l’époque d’internet, les temps ont changé, les cinémas X ont peu à peu disparu de nos villes, alors que se développaient sur le net les vidéos pornographiques. C’est une pratique tout à fait différente, par nature soit solitaire ou en couple, en tout cas en privé et en cercle restreint, sans le frisson que donnait la présence d’autres mâles dans une salle obscure, qui profitaient de l’aubaine d’une jeune femme « venue pour ça ».
Là également, je reconnais que j’aime ça et que ces vidéos accompagnent mes séances régulières de masturbation. Ces vidéos sont particulièrement importantes pour moi quand je suis dans une période de « diète », où, du fait des précautions que nous prenons désormais et des contraintes que nous nous imposons, Philippe n’a pu organiser pour moi ces séances candaulistes qu’il aime tant. Dans ce cas, ces vidéos m’apaisent, accompagnent ma masturbation alors que je m’imagine me faire démonter par ces mâles vigoureux.
Au-delà de cet effet « d’apaisement », j’aime aussi voir ces vidéos avec mes conjoints.
Avec Agun, nous regardons de temps en temps ensemble des vidéos saphiques, avant de faire l’amour. ...
... Moi ça accroit encore mon désir pour elle. Quant à Agun, j’ai bien senti que ça l’inquiète, elle qui craint toujours, à tort, que j’ai envie d’autres femmes.
Avec Philippe, nous regardons évidemment des vidéos candaulistes, lui m’imaginant à la place de la femme qui se fait prendre devant son mari.
J’aime les vidéos X, avec une préférence pour celles qui sont « authentiques », où l’on y fait réellement l’amour. Je vais confesser une chose qui ne surprend pas ceux et celles qui ont suivi mes récits autobiographiques : j’aime tout particulièrement quand la baise se fait sans capote et que le mâle se vide dans sa partenaire. Je sais que ce n’est pas « politiquement correcte », pire que ça s’apparente à la roulette russe, aux temps du VIH et des MST. C’est exactement ce qu’il ne faut ni faire, ni préconiser. J’ai trop souvent pris ce risque, parce que c’est que je préfère quand je me fais baiser, ma jouissance est la plus forte quand je me fais remplir. Consciente que c’est particulièrement dangereux et que ça ne peut se faire que lorsqu’on se sent totalement sûre et en confiance. C’est un des points où, dans notre « nouveau pacte candauliste » convenu avec Philippe, je me suis engagée à la plus stricte des disciplines.
En matière de vidéos X, je suis plus particulièrement attirée par l’amour entre hommes, rien ne m’excite plus que ces scènes et ce depuis mon éveil à la sexualité. Est-ce parce que la pédérastie allait de soir dans la civilisation gréco-romaine, au point ...