1. Erotisme et cinéma (1) : Introduction à une nouvelle série


    Datte: 07/04/2020, Catégories: A dormir debout, Auteur: Olga T, Source: Hds

    Je poursuis la diversification de mes textes sur HDS. Aux côtés de mes récits autobiographiques (Philippe, le mari candauliste et Olga, l’épouse hypersexuelle), je publie déjà :
    
    • Une « histoire des libertines » : 46 textes ont été publiés à ce jour
    
    • Mes fiches de lecture : « Lectures érotiques », 22 textes publiés à ce jour
    
    • Des « récits érotiques de la mythologie », avec 16 textes publiés à ce jour
    
    J’ai commencé, il y a peu (deux textes publiés) une série sur la Philosophie du plaisir.
    
    Je pense aussi à une autre série sur la poésie érotique et je vais donc commencer une série de textes que j’ai appelée « Erotisme et cinéma », avec un premier texte aujourd’hui où je souhaite expliquer ce que sera et ne sera pas cette nouvelle série.
    
    Je sais que ces différentes séries ont moins de lecteurs et reçoivent (un peu) moins de commentaires que mes récits autobiographiques. Sans doute parce que le contenu y est souvent moins « hard », moins « direct », bien souvent sans scènes de sexe qui sont la raison principale de la présence des lecteurs et lectrices sur HDS. Pour autant je veille soigneusement à la qualité de tous mes textes.
    
    J'ajoute que ces « autres » textes ne sont jamais complètement ou rarement déconnectés de mon autobiographie et j’y inclue souvent une section où je parle de l’impact d’un personnage historique, d’une lecture, d’un mythe, d’une philosophie et, bientôt, d’un film ou d’un poème, sur mon propre parcours. Je traite de ces sujets ...
    ... parce qu’ils me passionnent et parce qu’ils sont étroitement liés à ma propre histoire.
    
    Je tiens à remercier vivement :
    
    • Ceux et celles qui suivent ces textes et m’encouragent à poursuivre
    
    • Le site « Histoires de Sexe » et toute son équipe, parce qu’ils soutiennent cette diversité. C’est la confirmation de la grande qualité de HDS, qui fait qu’il m’est indispensable et que je suis fière d’y être auteure.
    
    CE QUE CETTE NOUVELLE SERIE N’EST PAS
    
    Dans cette nouvelle série de textes, je n’ai pas a priori l’intention de faire la promotion de films pornographiques ou de vidéos X.
    
    La grande époque du cinéma « hard » est derrière nous, celle où il y avait de nombreuses salles spécialisées dans les grandes villes. Je suis nostalgique de cette époque dont l’apogée remonte à un temps, celui des années 70 et 80, où je n’étais pas née ou pas encore nubile. Je me souviens aussi du porno du mois sur Canal Plus.
    
    Le cinéma reste pour moi un de ces « lieux insolites » où j’aime donner libre cours à mon hypersexualité, comme je l’ai raconté dans « Philippe, le mari candauliste et Olga, l’épouse hypersexuelle (54) : le cinéma, lieu insolite. », publié le 16 décembre 2018. Ce qui pouvait se passer dans ces salles spécialisées, quand une femme seule y venait et que s’y trouvaient quelques hommes venus apaiser leur solitude et leurs frustrations, je l’ai raconté dans ce texte. Le spectacle n’était plus alors sur l’écran, mais dans la salle obscure, mes gémissements de plaisir ...
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