Fait vécu
Datte: 06/04/2020,
Catégories:
ffh,
piscine,
pénétratio,
confession,
extraconj,
Auteur: Xetdemi, Source: Revebebe
... fasse un geste aussi cochon m’excite sur-le-champ. Ma queue ne se pose pas de question, sa décision est prise, elle va se faire cette magnifique femelle et elle l’affirme haut et dur. Je me déshabille et je plonge, loin de Véronique. Par cette chaleur l’eau est si caressante. Je nage sur le dos, lentement, ma queue érigée, sortie de l’eau, semblant regarder les nuages. Véronique ne peut résister à cet appât et me rejoint, et caresse tendrement ma queue avant de se la mettre en bouche. En peu de temps nous nous retrouvons dans la partie la moins creuse de la piscine. Je l’embrasse et je caresse ses seins si fermes. Je ne peux m’empêcher de penser qu’ils sont refaits, mais ils répondent si bien à mes caresses que je leur pardonne leur manque de naturel.
— Tu peux les caresser comme ça, par-dessus le tissu, mais tu ne dois pas mettre ta main en dessous, car alors je tromperais mon mari.
Comme je les caresse et que j’embrasse le haut de ses seins, voilà qu’elle dégage un sein de son bonnet et qu’elle me l’offre.
— Ah mon coquin, dit-elle, comme tu es désobéissant. Bon, d’accord, tu peux le sucer et le téter à ta guise.
Alors que je la tète et la suce à grand bruit, elle dégage l’autre sein.
— Il ne faudrait quand même pas faire de jaloux !
Pendant que je la caresse, Véronique frotte son sexe sur le mien. Elle se masturbe sur ma queue. Je n’en peux plus, j’écarte le peu de tissu qui lui couvre l’entrejambe et je la pénètre. Elle me regarde comme surprise tout ...
... en jouant du bassin pour que j’aille au plus creux d’elle et me demande :
— Qu’est-ce que tu fais là, Vincent ?
— Je me suis égaré. Je cherchais mon chemin. J’avais froid, je suis entré. Tu es si chaude.
— Il me fait plaisir de t’accueillir. C’est si bon, si chaud, si dur. J’en voudrais tous les jours des comme le tien. J’en veux, j’en veux. N’arrête pas, jamais !
Je la besogne longtemps, puissamment puis écartant ses fesses, je caresse son anus ce qui déclenche chez elle de violents spasmes de plaisir. J’aperçois en levant les yeux Consuela qui nous regarde. Elle a relevé sa robe et se caresse. Quand Véronique pense s’en remettre, je viens en elle rudement ce qui déclenche chez elle une deuxième vague de plaisir qui la laisse toute pâmée.
Avant de partir, je dis bien à Véronique que demain nous serons deux et qu’il faudra finir le travail. Plein d’autres clientes m’attendent. Elle me remercie du travail effectué et me dit qu’elle a beaucoup apprécié mon « attitude ». Elle me dit aussi que son mari sera présent le lendemain. Elle se rembrunit quand elle parle de son mari. Elle me dit ceci :
— Tu vas voir Vincent, mon mari est un homme droit, sec, sévère. Quand il a perdu la rigidité de son sexe, elle lui a monté à la tête ; il a perdu la dureté si chère à une femme, elle a migré vers son cœur. Tu es marié ?
— Oui. Très heureux en mariage.
— Comme elle est chanceuse, ta femme !
Et elle me remet sa carte en me disant qu’elle aimerait que je travaille quelques ...