Fait vécu
Datte: 06/04/2020,
Catégories:
ffh,
piscine,
pénétratio,
confession,
extraconj,
Auteur: Xetdemi, Source: Revebebe
Dans une semaine ce sera les vacances, mais en attendant, il faut la passer la semaine. On annonce 34 degrés aujourd’hui avec un indice humidex élevé. Arrivé à mon lieu de travail, j’apprends que mon collègue sera absent aujourd’hui. Je vais devoir faire l’ouvrage seul, la journée va être longue. Je suis horticulteur. La patronne me montre, photos à l’appui, le travail à faire aujourd’hui. La cliente, Véronique H., architecte, désire que l’on crée une plate-bande d’environ quatre mètres sur un mètre à l’arrière de sa maison. Il s’agit d’installer la bordure de plastique, de détourber le gazon à l’intérieur du périmètre ainsi défini, d’enlever 10 cm de mauvaise terre à remplacer par 10 cm de bonne terre de plantation, d’installer les plantes choisies et de terminer en étendant généreusement un paillis naturel.
Juste à charger le camion, mettre la terre dont j’aurai besoin, les sacs d’amendements, les plantes, les outils, brouette, pelles, râteaux, etc., je suis déjà en sueur. Heureusement je supporte bien ces temps de canicule. Je ne serais pas horticulteur si je ne supportais pas la chaleur, le froid, la pluie. Arrivé chez ma cliente, je commence par inspecter les lieux. Voir comment installer mon ouvrage pour être le plus efficace possible avant de décharger le camion. Il s’agit d’une belle grosse maison dans un quartier chic, piscine creusée à l’arrière, une grande pelouse et trois magnifiques arbres en fond de cour. L’orientation est plein sud et aucune ombre là où je ...
... vais travailler. Il va faire très chaud, un four !
Pendant que je décharge le camion, la cliente sort et vient à ma rencontre. C’est une belle femme, fin trentaine, en petite robe de chambre qui me laisse voir de belles jambes, parfois un peu de ses cuisses et je peux voir un peu de ses seins quand elle se penche. En ce matin déjà si chaud, voir cette peau déjà perlée de sueur, cette peau qui semble si douce, si invitante, me fait du bien. La vie bouillonne en moi. Madame Véronique est tout à fait charmante. D’après l’expérience que j’en ai, il y a deux genres de femmes riches. Une majorité qui pense que l’argent est la preuve de leur supériorité et qui considère de haut les gens qui travaillent pour elles. Elles sont exigeantes, jamais satisfaites et prennent plaisir à afficher leur mécontentement pour bien écraser le travailleur. Mais il y a une minorité de ces femmes qui a conscience de la chance qu’elles ont, qui se savent privilégiées et qui veulent faire bénéficier d’un peu de leur aisance aux gens qui travaillent pour elles. Elles sont décontractées, simples, avenantes. C’est un plaisir de travailler pour elles. Heureusement Véronique est de ce deuxième type. Elle me dit de prendre mon temps, de prendre les pauses nécessaires qu’impose la chaleur, de ne pas me gêner si j’ai besoin d’eau, de jus. Je n’aurai qu’à demander. Si elle doit s’absenter, Consuela, sa femme de ménage, veillera à ce que je ne manque de rien.
Je commence à travailler. Je déboutonne un peu ma ...