6809 - Saines émulations - 1/3 : Implémentation
Datte: 06/04/2020,
Catégories:
fhh,
extraoffre,
Oral
double,
Partouze / Groupe
fsodo,
couple+h,
Auteur: Patrik, Source: Revebebe
... qu’on a imaginé ?
Fabrice assène calmement :
— OK, ma chérie, on en parle. Richard, ta maison est loin d’ici et tu devras rendre de temps à autre compte de l’avancement de ton bidule d’émulateur-simulateur. Je sais bien que nous sommes à l’ère d’Internet et autres travaux à distance, mais tu devras parfois aller sur place vérifier plein de points de détail.
— Oui, je ne peux pas dire le contraire… Où tu veux en venir ?
La réponse arrive de Cécile qui vient s’asseoir posément sur mes genoux, passant un bras autour de mon cou, ses jambes sur l’accoudoir. Aussitôt, une certaine partie de mon anatomie se réveille de plus belle !
— Eh bien, reste ici, mon Riri : tu seras plus près. Et moi, j’aurai le plaisir de t’avoir sous la main.
— Euh… Tu sous-entends quoi ?
— La même chose que toi, gros cochon !
Et ostensiblement, les yeux pétillants, elle remue ses fesses nues sur ma tige de chair qui n’en finit plus de durcir.
— Tu as… des arguments… difficiles à contrarier, Cécile.
— C’est ce que j’ai cru remarquer, mon gros cochon !
Amusé, Fabrice intervient :
— Il se passe quoi ?
— Il se passe que ton ami a le chapiteau dans de très bonnes dispositions !
— Ah OK, rien que du naturel.
— Que du naturel, et il démarre au quart de tour ! Ça fait plaisir de se sentir si… comment dire… désirée.
Sans plus de préambules, j’enlace Cécile ; j’adore la sentir sous mes doigts, d’avoir sa chaleur et sa douceur tout contre moi.
— Je vais te redire ce que j’ai dit ...
... tout à l’heure à ton mari.
— Et quoi ?
— Que tu es complètement à mon goût, que je n’attends qu’une seule chose : c’est de rejouer avec toi, toujours et encore, m’occuper de toi. J’adore ta magnifique poitrine qui est très douce à caresser, tes tétons de rêve, tes adorables fesses. Je trouve aussi que tu as de superbes jambes et que j’adore tes longs cheveux.
— Houlala ! Tout ça ?
Elle tourne la tête vers son mari.
— Richard a vraiment dit ça tout à l’heure ?
— Je crois qu’il vient d’en ajouter un peu, mais dans l’ensemble il a vraiment dit ça.
— C’est de la déclaration, ça, Richard !
— Tu t’en doutais, non ?
— Oui, quand même… Mais entre le savoir et l’entendre, il y a une marge. Merci, mon Richardounet !
Puis se plaquant entièrement à moi, écartant un peu les jambes, remuant vicieusement des fesses et du bassin à tel point que ma tige trouve sans détour l’entrée de sa fente si accueillante, à présent embrochée sur moi, elle m’embrasse. Sous son torride baiser, j’ai un mal de chien à me contenir ! Puis, n’y tenant plus, je réponds farouchement à son invite, capturant ses lèvres, puis perdant définitivement mon self-control sous la brûlure de notre baiser incandescent, un long jet explose en elle.
Avec de tels arguments, une semaine plus tard, valises en main, j’emménageais chez mes amis, partagé entre deux sentiments contradictoires : la joie de pouvoir profiter de Cécile, et la crainte de ne pas avoir la sérénité nécessaire à l’écriture du mon simulateur ...