1. 6809 - Saines émulations - 1/3 : Implémentation


    Datte: 06/04/2020, Catégories: fhh, extraoffre, Oral double, Partouze / Groupe fsodo, couple+h, Auteur: Patrik, Source: Revebebe

    ... vois-tu, bien que tu me plaises beaucoup, même si je sais que ça serait très très bien avec toi, c’est toujours vers Fabrice que je me tournerai.
    — Ah bon ? Pourquoi ?
    
    Elle se niche un peu plus contre moi.
    
    — Parce que, lui, il ose. Tout simplement.
    — Ah ?
    — Oui, il ne fait pas de chichis ; il est assez direct, mais il sait y mettre la forme, sauf quand il veut me mettre en boîte, le petit salopiaud ! Malgré les années qui passent, il me veut toujours et ne se gêne pas pour me le faire savoir. Parfois, il s’y prend d’une drôle de façon ; ça surprend, mais il sait se renouveler. Et puis, moi, je préfère les hommes qui savent ce qu’ils veulent et qui assument. Ce n’est pas pour rien si j’aime aussi jouer à la soumise.
    — Je comprends…
    — J’espère bien !
    
    Ah, ces femmes… Je crois que je ne les ai jamais bien comprises ! Il faut dire que je n’ai jamais eu droit à une Cécile qui me mettre les points sur les i… Des envies, j’en ai plein, mais j’ai l’impression de ramer à contre-courant avec les femmes, que ce n’est jamais le bon moment. Combien de fois je me suis planté de la sorte ! Mais quelque chose en moi me dit que ça va être plus simple avec Cécile.
    
    Alors, l’écartant légèrement de moi, je me penche sur elle et je l’embrasse.
    
    Fougueusement, elle répond à mon baiser. Je m’enflamme petit à petit ; mes mains deviennent plus possessives. Nos lèvres se dévorent, nos corps se cherchent. Alors que je l’embrasse passionnément dans le cou, une main dans son dos que je ...
    ... caresse et griffe délicatement et l’autre sur une fesse fermement capturée, Cécile murmure :
    
    — Tu ne crois pas qu’on en fait un peu trop ?
    — Ce n’est pas toi qui disais qu’il faut se laisser aller ?
    — Si, mais ça va plus loin que d’hab’…
    
    Mon nez et mes lèvres toujours dans son cou, je demande :
    
    — Comment ça ?
    — Je suis libertine, je ne m’en cache pas ; mais avec toi, il y a comme un petit truc en plus…
    — Tu m’en vois ravi : tu sais très bien que, toi, tu me plais beaucoup, énormément ! Si je m’écoutais, je t’enlèverais et je te garderais pour moi tout seul, égoïstement.
    — Embrasse-moi au lieu de dire des bêtises !
    
    Il ne me semble pas avoir dit de bêtises ; néanmoins j’obtempère, trouvant l’idée particulièrement agréable. Un long baiser nous unit à nouveau. Je me frotte éhontément contre elle, mes larges mains la caressant, la frôlant, la désirant. Soudain, Cécile s’échappe de mes bras, me désignant le couloir et les chambres :
    
    — Tu vois que c’est simple… Mais chaque chose en son temps. Ceci dit, tu es sur la bonne voie.
    — Madame est trop bonne !
    — Hi-hi, je sais, ça me perdra.
    
    Peu après, c’est un Fabrice assez fatigué qui fait son apparition dans le salon. Il me lance un bref bonjour ensommeillé, puis il s’approche de sa femme et l’embrasse tout en lui caressant les fesses. Puis il se sert un café.
    
    — Je vais en avoir besoin.
    — On dirait que tu n’es pas tout à fait rétabli, mon chéri…
    — Tu as raison : je traîne toujours un truc depuis le début de ...
«12...131415...»