1. 6809 - Saines émulations - 1/3 : Implémentation


    Datte: 06/04/2020, Catégories: fhh, extraoffre, Oral double, Partouze / Groupe fsodo, couple+h, Auteur: Patrik, Source: Revebebe

    ... avis.
    — Donc pour toi, c’est niet ?
    — Oui et non, Cécile. Il faudrait que ça reste une sorte de jeu, que ça devienne pas trop commercial, sinon tu y perdras une partie de ton âme. Oui, je te vois bien jouer parfois les Dominas. Non, pour en faire ton métier, pour le fric. Et puis, toi toute seule avec un inconnu…
    
    Lentement, Cécile contourne la table.
    
    — Ton analyse rejoint la mienne : ça m’amuserait de le faire de temps à autre, mais systématiquement, non.
    — Donc, tu laisses tomber ?
    — Non, pas vraiment. Je pense me prendre quelques mois sabbatiques, car franchement, le boulot me pèse. Et faire la Domina, faire des tas d’autres choses comme organiser des soirées privées, c’est nettement plus fun ! Puis après, on avisera.
    — Faire des soirées privées ?
    — Oui, des soirées plutôt libertines avec collation. Tu vois le truc, Riri. Une fois tous les mois, par exemple. Avec parfois un extra.
    — Un extra comme quoi ?
    — Par exemple, un peu de D/s et de BDSM, histoire d’épicer les choses !
    — Ah… Pourquoi pas ?
    — Oui, pourquoi pas ?
    
    Elle se tient juste à côté de moi. J’ai une folle envie de la serrer contre moi. Je préfère fermer les yeux et continuer :
    
    — Je suppose que tu en as déjà bien causé avec Fab’, et que quelques mois sabbatiques seront une bonne façon de vérifier si, oui ou non, ça vaut le coup de persévérer dans cette voie. Inutile de te rappeler les avantages et les inconvénients de ton boulot actuel et de ce que tu souhaites faire.
    — Inutile, en ...
    ... effet.
    — OK…
    — Mais tu sais, Richard, il n’est pas inutile de se laisser aller à ses pulsions…
    
    Je la dévisage, intrigué.
    
    — Tu veux dire quoi par là, Cécile ?
    — Je sais très bien que tu aimerais faire autre chose, là maintenant ; n’est-ce pas ? Et ose me dire le contraire : le bas de ta chemise parle pour toi !
    — Je me demande bien ce que je peux te cacher…
    — Alors n’essaie pas de me cacher quoi que ce soit, et je préfère quand tu te laisses aller.
    — Je peux ?
    — Oui, grand bêta d’un mètre quatre-vingt-dix !
    
    Alors je l’attire à moi et je la serre contre moi, entre mes bras. Je sens la chaleur de son corps à travers la nuisette, j’entends sa respiration apaisante, je joue avec les boucles sombres de ses longs cheveux… À travers les deux épaisseurs de sa nuisette et de ma chemise, mon mandrin bien tendu vient se plaquer contre son pubis.
    
    — Tu vois ? C’est si simple, mon Riri…
    — Oui, pour toi, sans doute.
    — Pour toi aussi, mais tu n’oses pas toujours, même si je sais très bien que tu en meurs d’envie.
    — Pas facile, tu sais… Et puis, en prime, tu es la femme de mon meilleur ami : ça n’aide pas !
    — En parlant de ton meilleur ami, tu sais pourquoi je suis avec lui, qu’est-ce qui m’a fait dire que c’était lui et pas un autre ? À l’époque comme maintenant ?
    
    Je la serre un peu plus contre moi.
    
    — Il est gentil, il est pas mal de sa personne et il est peu contrariant…
    — Il y a de ça. Toi aussi, tu es comme ça. Tu es plus possessif, moins partageur, je pense. Mais ...
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