1. Accueil des déshérités 6


    Datte: 05/04/2020, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: Accent, Source: Hds

    ... peux pas me coucher sur le dos ou ma coiffure sera fichue.
    
    Admets qu’Henri arrive avec quelques minutes d’avance. Ce serait une catastrophe pour moi. Tu ne veux pas me rendre malheureuse. Sois raisonnable.
    
    - Je l’ai trop été. Ne perdons pas un temps précieux en discussion. Allons au lit, je te veux, je n’en puis plus de te désirer. Tu as promis. Tu peux baiser sans te coucher sur le dos. André ne connaît que cette position? ? Je te plains. Tu te penches sur ton matelas, je soulève ta robe et je t’enfile par derrière, vite fait pour me soulager temporairement les burnes en attendant mieux prochainement.
    
    - Je n’ai même pas eu le temps de faire mon lit. Puisque tu insistes, passons au salon. Au début André adorait me prendre dans un fauteuil, sur le canapé ou sur la table, quand ce n’était pas sur le tapis. Il s’est embourgeoisé et préfère le lit.
    
    - Sortons des sentiers battus. Ce que tu es belle. Tu ne crains pas de donner des idées à ton patron ? A sa place je te sauterais dessus à longueur de journée.
    
    - Tu délires. Il a cinquante-six ans. Sa libido s’est assagie. C’est un « monsieur de la haute ». Il est courtois mais si sérieux. Non, je n’ai pas peur. D’ailleurs son fils t’en a parlé.
    
    - Hé ! Ton monsieur sérieux a une réputation de chaud lapin. Méfie-toi si tu veux conserver André. Ou bien tu ne l’attends plus ?
    
    - Qu’est-ce qui te permet de dire ça ? Il y aura des changements importants dans notre vie. Je serai plus souvent absente, André devra ...
    ... l’admettre. Nous changerons de logement.
    
    - Tu n’abandonneras pas notre œuvre ? Dis pense à nos pauvres gars !
    
    - Je ne pourrai plus assurer régulièrement. A contre cœur je serai obligée en raison de ma position de céder la place. Oui, ça me brise le cœur. Bon, tu es prêt. Par quoi veux-tu commencer ?
    
    Ce discours me couperait mes moyens. Le comportement de Lili est à la limite de la correction. Elle se prépare à ce qu’il y a de plus beau au monde, elle traite Robert comme un robot. S’en rend-elle compte, elle est odieuse, ne manifeste aucun sentiment, reste sèche comme un rapport comptable. Son vagin sera-t-il plus agréable ? J’éprouve de la pitié pour ce type qui va bourrer ma femme à la va vite. Il répond :
    
    - Veux-tu t’asseoir dans le fauteuil. Je rêve depuis si longtemps de contempler ton sexe et de l’embrasser.
    
    - Voilà. Mes jambes sont-elles assez écartées ? Oui, j’avance en glissant sur les fesses. C’est mieux, va. Repousse mon string sur le côté, dans le creux de l’aine. Ne le salis pas.
    
    - Il vaut mieux l’enlever. Tu as du beau linge, c’est Henri qui paie?
    
    - Il m’a ouvert un compte dans une boutique de luxe. Je ne peux pas laisser passer un gentleman aussi généreux.
    
    - Je suis ému. Ton sexe est merveilleux. La fente si fine et son décor de poils sont ravissants. Elle attire le toucher. Je peux ?
    
    Se sont-ils seulement embrassés. C’est difficile à savoir depuis mon bureau. Je n’ai pas entendu de « Chéri » ou de « chou » comme hier. Lili est fâchée du contre ...
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