La Révélation de Sophie (4)
Datte: 04/04/2020,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
Auteur: blueyes, Source: Xstory
... La bouche soupire, les lèvres pulpeuses réclament, les sens exigent ce que la raison refuse. Phil a ouvert la porte et de sa voix hypnotique :
« Entre ! Nous en avons pour trois minutes ! Si tu le veux, ce sera la dernière fois, ta dernière branlée, ton dernier orgasme. Si tu refuses de continuer, si tel est ta volonté, personne ne te forcera… … Alors, profite à fond de cet ultime orgasme… Peut-être le plus intense, le plus inoubliable… Allez viens… entre… Voilà, ma chérie, oui… approche… plus près… Encore un peu… Parfait. Tu n’as plus qu’à baisser ta culotte… Quoi de plus simple, quoi de plus excitant… Lààà ma petite salope… Comme ça… Humm… Je vais te chronométrer. Je suis persuadé que tu vas jouir encore plus vite que tout à l’heure. Allons-y. Tu sens comme le vibromasseur épouse ta chatte, les milles langues qui s’activent sur le clitoris ? Comme tu réagis vite… Comme tu aimes la branlée… Tu dégoulines déjà. On accélère un peu ? Oui… Comme ça… Plus vite… Ouiiii…. Lààà… Que tu es belle quand tu te tortilles comme ça… Tu aimes ça, hein… Tu es une vraie petite chienne, tu sais… Oui Sophie, une chienne en chaleur… Si tu t’entendais gueuler ! Laisse-toi submerger par l’orgasme… Ouiiii tu viens… Voilà ma chienne… Tu jouis de tout ton âme… Un vrai geyser… Encore un peu… làààà… Voilà… Parfait… C’est ce que j’appelle recevoir une bonne branlée !! Voyons voir ? Deux minutes et 56 secondes ! Record battu. En rapidité et en intensité. Ne dis pas que tu ne t’es pas régalée ! Et le ...
... prochain orgasme sera encore plus fort. Quand ? Mais tout à l’heure, ma chérie. Ô non tu n’en as pas assez. A chaque fois, tu jouis plus vite et plus fort. Tu n’es pas encore rassasiée, crois-moi. Allez ! file vite. Je t’attends après les cours pour une nouvelle branlée. »
Encore une étape de franchie. Petite salope, petite chienne, chienne en chaleur… Comment pourrait-elle nier que les insultes galvanisent son orgasme ? Ironie du sort, le cours de l’après-midi est consacré au droit des femmes. Sophie, l’esprit ailleurs, prend des notes machinalement. Les législations sur la discrimination ne s’impriment pas dans son cerveau, n’imprègne pas l’intelligence pourtant vive de jeune fille, elle est bien trop harcelée par son sexe encore ruisselant.
Il a deux heures à tuer. Un petit achat à effectuer. Il en profite pour se procurer quelques gadgets. Des cadeaux, des surprises pour plus tard. Pour bientôt. Elle progresse rapidement.
A 16h30, Phil est en poste. Il ne doute pas que Sophie viendra. Elle pourrait prendre un autre chemin pour, à la fin des cours, rejoindre son domicile mais elle est déjà trop engagée dans cette voie vertigineuse, une pente si abrupte, il lui est impossible de faire marche arrière. Elle a certainement besoin de s’inventer des subterfuges pour justifier sa reddition morale. Mais les tergiversations, les états d’âmes de la jeune fille importent peu à Phil. Seul compte le résultat de la délibération : elle se soumettra.
Cette fois, elle avance ...