1. L’esclave de Zoran - début de démolition et première fécondation par le Boss


    Datte: 04/04/2020, Catégories: Entre-nous, Les hommes, Auteur: Steph24a, Source: Hds

    ... couilles sur la queue puis le bas ventre, les pecs, les tétons.
    
    Je bandais plus depuis longtemps, et si mon zob était toujours à la verticale, c'était juste à cause de la sonde.
    
    Je gueulais pas non plus, je me contentais de geindre et de chialer.
    
    C’était bien un briquet que j’avais entendu. J’ai pigé quand il a commencé à me torturer à la cire.
    
    Il a commencé par les tits, puis le torse, le ventre, la bite pour finir par les couilles.
    
    Après ce j’avais déjà subi, c'était presque soft. En plus, la cire, j’avais l’habitude. Ça fait partie des trips sm classiques.
    
    Sauf que généralement les autres mecs ils faisaient couler la cire de 10 15 cm de haut, du coup ça brûlait moins.
    
    Lui c'était juste au dessus de la peau qu’il tenait la bougie, histoire que ça fasse le plus mal possible.
    
    Après la bougie, j’ai eu droit à un peu de répit.
    
    Zoran est monté sur le pieu à son tour. Il s’est mis à 4 pattes sur moi pour m’offrir son cul en face sitting.
    
    « Bouffe le, pédé. Décrasse bien. Et profites en. Utilise bien ta langue. Tu peux même le pénétrer avec.
    
    Parce que pour le reste, rêve pas. Je suis pas un enculé moi. »
    
    Bouffer une rondelle, ça me gêne pas, sauf si elle est crade.
    
    La sienne ça allait à peu près. J’ai commencé à lui lécher la raie avant de lui titiller la chatte avec la langue pour la bouffer et la rentrer dans son trou.
    
    Je m’interrompais régulièrement pour sucer et aspirer avant de recommencer.
    
    Visiblement, il aimait ça. Je ...
    ... l’entendais gémir, il disait que c’était bon,
    
    que c’était le boulot d’un pute de décrasser le cul des Mâles.
    
    Quand il a jugé que son cul était suffisamment propre, il a changé de position pour m’offrir sa bite.
    
    Elle était raide, super dure, une vraie barre. Il m’a ordonné de lui bouffer les couilles, de lécher sa queue, son gland.
    
    Il mouillait grave. J’avais mal partout, mais putain ce que j’avais envie de son zob.
    
    « Ouvre ta gueule, la pute. Je suis sur que t’en as envie, hein?
    
    Et que t’as jamais eu une queue comme la mienne »
    
    « Oui, Maître. Défoncez moi la tronche, Maître j’en ai envie, Maître »
    
    Il m'a défoncé la gueule un long moment, en gorge profonde.
    
    Vu l'engin, j'avais du mal à prendre son zob. Mais j'en mourais d'envie.
    
    A chaque fois qu'il sentait qu'il allait gicler, il le ressortait,
    
    attendait quelques instants le temps de faire baisser la tension et recommençait à me limer.
    
    Il m'a pas joui dans la gueule.
    
    Après me l'avoir limée comme jamais elle ne l'avait été, il s'est redressé.
    
    Il m'a détaché, me laissant juste les pinces et la sonde dans la bite.
    
    J’étais complètement ankylosé.
    
    "A 4 pattes, pédé, file moi ton cul, j'en ai trop envie"
    
    Je me suis mis en position, présentant ma croupe, jambes bien écartées.
    
    J’avais super envie qu’il me défonce, mais en même temps j'appréhendais la suite, vu la taille de son engin.
    
    « Je peux prendre du poppers, Boss? S’il vous plaît »
    
    « Ouais, tu vas en avoir besoin. Alors profites en ...