1. L’esclave de Zoran - début de démolition et première fécondation par le Boss


    Datte: 04/04/2020, Catégories: Entre-nous, Les hommes, Auteur: Steph24a, Source: Hds

    -- ATTENTION HISTOIRE POUR LECTEURS AVERTIS --
    
    Il était 11 heures de mat passé quand je suis rentré chez moi.
    
    J’avais les couilles éclatées grave, mon corps était couvert de bleus et de zébrures de fouet, mon cul total explosé.
    
    Zoran m’avait tabassé, torturé, violé pendant plus de 7 heures.
    
    Pourtant, dès que j’ai commencé à me toucher, je me suis mis à gicler.
    
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    Une fois dans la playroon, il a commencé par m'attacher sur le pieu, écartelé bras et jambes en croix et après il m’a bandé les yeux.
    
    En principe, j’aime pas trop ça. Quand je morfle, je préfère voir le mec, pour anticiper ce que je vais subir. Mais avec lui j’ai pas osé la ramener.
    
    « T’as de la tune sur toi? »
    
    « J’ai juste 20 euros, Maitre. Pourquoi, Maitre? »
    
    « Dommage pour toi. Je t’aurais bien foutu sous slam. Mais je fais payer 50 € la dose. Donc, tu vas morfler sans. T’auras juste du poppers, quand je le déciderai. La prochaine fois, faudra y penser »
    
    Une fois à sa merci, il a recommencé avec mes tits. Il les pinçait, les tordait, tirant dessus, les mordait sauvagement.
    
    Le plus hard, je m’y attendais pas, c’est quand il les a transpercés avec une aiguille.
    
    J’ai pas pu m’empêcher de gueuler. Pour finir, il y a fixé des pinces crocodile.
    
    Après ça a été le tour de mes couilles.
    
    Il les a attachées super serrées avant de tirer dessus comme un malade pour fixer l’autre extrémité de la cordelette à
    
    un des barreaux du pieu au point que j’ai du soulever mon cul ...
    ... tellement qu’il reposait plus sur le matelas.
    
    Même si ça faisait mal, je bandais grave.
    
    Il m’a décalotté le gland et a commencé à le masser.
    
    C’était bon, je mouillais à donf.
    
    Ca a pas duré. J’ai senti qu’il faisait couler quelque chose dessus.
    
    Il a continué à me masser le gland mais après quelques instant, ça brûlait atroce.
    
    Je me tordais, je chialais, je le suppliais d'arrêter mais il continuait.
    
    « T’inquiète, c’est juste du piment. Histoire de te chauffer un peu.
    
    De toute façon, les keums comme toi, leurs couilles et leur zob, c’est pas fait pour jouir, juste servir de défouloir aux Mâles.
    
    Avec moi tu vas vite apprendre. J’vais te faire regretter d’avoir des boules et une queue ».
    
    J’ai vite compris.
    
    Après le piment sur le gland, il m’a enfilé une sonde en acier dans l'urètre, en l’enfonçant aussi loin qu’il pouvait.
    
    Une fois enfoncée, il m’a fait un bondage serré de la queue, histoire que la sonde reste bien en place.
    
    J’avais la bite à la verticale, mais c'était pas parce que je prenais mon pied. Je morflais grave.
    
    Il s’est éloigné un moment. J’ai cru reconnaître le bruit d’un briquet.
    
    Et puis un premier coup de badine, sur les pieds.
    
    J’ai gueulé. D’autres coups ont suivi. Une dizaine.
    
    Mais c’était rien par rapport à la suite.
    
    Après mes plantes de pieds, il s’est mis à me frapper les couilles.
    
    A chaque coup, c’était comme une décharge qui me traversait tout le corps.
    
    Il a continué à cogner, méthodiquement, après les ...
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