La mélodie du bonheur
Datte: 03/04/2020,
Catégories:
fh,
anniversai,
fsoumise,
hdomine,
yeuxbandés,
fouetfesse,
fsoumisah,
Auteur: Myhrisse, Source: Revebebe
... bouger. À chaque marche, la chemise se soulevait, faisant apparaître la nudité de la jeune femme, ravissant son maître. Il la mena jusque dans la voiture. En chemin, ils ne croisèrent personne, au grand soulagement d’Élodie. Elle sourit en voyant qu’il la menait chez lui. Ils prirent l’escalier et Gilles, cette fois en dessous de la jeune femme, n’eut que plus de plaisir. Ils arrivèrent enfin et Élodie put se relaxer. Si quelqu’un les avait vus, Élodie ne l’avait pas remarqué. Gilles lui détacha les mains, lui ôta la chemise en en profitant pour la caresser, puis lui rattacha les mains dans le dos. Élodie se tenait bien droite, les jambes légèrement écartées et le regard baissé. Une parfaite attitude de soumise.
Gilles sortit de son manteau une petite boîte noire. Élodie en trembla. Elle n’avait pas fait attention qu’il l’avait prise. Il en sortit les pinces à tétons et s’approcha de sa soumise. Élodie ne bougea pas mais ses tremblements s’accentuèrent. Il commença par lui caresser doucement les seins et par y apposer de tendres baisers. Puis il les pétrit, allant plus fort, faisant ressortir leurs bouts dressés. Il pinça les tétons, s’amusa avec, puis s’éloigna un peu et desserra les pinces. Il tira sur ses seins et plaça la première pince. Élodie se retint de crier. La douleur était violente mais supportable. Il accrocha la seconde, puis se recula pour regarder son œuvre. Ses yeux brillaient.
— Tu es sublime, même si je préfère les pinces que j’ai. J’espère que tu ...
... t’habitueras et que tu pourras en porter des plus fortes.
— Je l’espère aussi, maître, pour votre plaisir autant que le mien.
Gilles sourit, attrapa la chaînette et la tira vers lui. Élodie suivit le mouvement en gémissant. Il l’embrassa puis souffla :
— J’ai envie que tu me donnes du plaisir. Viens.
Il s’installa sur le canapé en la tirant par la chaînette. Elle s’agenouilla et le suça, tandis que Gilles tenait la chaînette, tirant de temps en temps, appréciant de voir sa soumise sursauter. Élodie apprécia ce moment car son maître ne la faisait jamais souffrir. Il tirait très doucement et jamais jusqu’au seuil de douleur. C’était juste surprenant. Elle lui donna le plaisir attendu, le nettoya parfaitement et n’omit pas de le remercier. Il l’attacha ensuite à quatre pattes dans la chambre et lui ôta les pinces après le premier jeu, ne voulant pas trop la blesser pour cette première fois. Lorsqu’il lui demanda pendant le dîner s’il pourrait les lui remettre, elle accepta volontiers. Ainsi fut fait.
Lorsque Gilles rentrait du travail, il demandait à sa compagne d’ôter son haut et il lui mettait les pinces puis la faisait se rhabiller. Rapidement, Élodie s’habitua à les porter et après quelques semaines, elle put les porter une journée entière. Ainsi, ses jours de congé, Gilles les lui mettait le matin et ne les lui ôtait que le soir juste avant d’aller se coucher en même temps que les boules de geisha. Elle ne les porta cependant jamais au travail, ayant peur de se ...