1. La mélodie du bonheur


    Datte: 03/04/2020, Catégories: fh, anniversai, fsoumise, hdomine, yeuxbandés, fouetfesse, fsoumisah, Auteur: Myhrisse, Source: Revebebe

    ... préoccupé par votre conversation que vous ne vous êtes même pas rendu compte de ma présence. Je suis allé dans une cabine, j’ai écouté un bout de votre conversation puis je suis remonté et j’ai retenu ma femme jusqu’au retour d’Élodie, et l’ai ensuite convaincue de ne poser aucune question. »
    — Je l’ai remercié et ensuite, il m’a demandé :
    — J’ai souri et il a rajouté :
    — Vous avez l’air de bien vous entendre. Je n’ai jamais vu Élodie aussi belle et rayonnante. »
    — J’ai préféré ne pas répondre mais il a insisté :
    — Je suis content qu’elle ait trouvé un partenaire avec qui elle peut assouvir ses fantasmes. J’aurais aimé avoir cette chance. »
    — J’ai senti combien il était triste. Il continua :
    — Je n’ai jamais trouvé cela chez aucune femme, ni avant, ni après mon mariage, et pourtant, ce ne sont pas les relations qui manquent. »
    — Je me suis senti un peu mal qu’il me dise cela aussi ouvertement. Il parlait suffisamment bas pour que notre conversation soit totalement privée, mais je trouvai étrange qu’il se confie de cette manière. Il finit dans un soupir :
    — Il se contenta de sourire et de s’éloigner. Je me suis rassis et tu es revenue. D’où ma question, dit Gilles. Penses-tu que ta mère sache que ton père est aussi malheureux au lit ?
    — Je ne le pense pas, et j’ai de la peine pour lui. Je sais la chance que j’ai de t’avoir trouvé.
    — Et moi donc, répondit Gilles. Je te serai éternellement reconnaissant d’avoir eu le courage d’être venue me parler dans ce ...
    ... restaurant.
    
    Les deux amants s’embrassèrent fougueusement. Ils dormirent enlacés ce soir-là.
    
    Mercredi matin, Élodie se levait tard, donc Gilles décida qu’une séance s’imposait la veille. Lorsqu’il rentra, il prit une douche puis tendit les bracelets à Élodie avant même de lui dire bonjour. Elle les prit en souriant, les passa puis souffla :
    
    — Bonsoir, maître.
    — Bonsoir, ma soumise. Déshabille-toi.
    
    Élodie, qui était assise dans le canapé devant la télé, éteignit l’appareil, se leva, puis ôta ses vêtements pour son maître. Gilles vérifia la bonne position des boules de geisha puis tendit une chemise noire à Élodie et lui dit de la passer. Il déboutonna les premiers boutons jusqu’à ce que le tissu forme un décolleté plongeant. La chemise, certes longue, tombait en fait juste en dessous des fesses de la jeune femme. Il lui fit signe de le suivre et lui fit mettre des chaussures. Élodie les passa mais elle tremblait. Il lui passa le collier et la laisse, lui attacha les mains dans le dos puis fit mine de la mener dehors.
    
    — Non, dit Élodie.
    — Obéis ! gronda doucement Gilles en tirant doucement.
    
    Cela ne plaisait pas beaucoup à la jeune femme, mais jusque là, elle avait toujours fait confiance à son maître, alors pourquoi pas une fois de plus ? Elle le suivit donc sur le palier devant son appartement. Gilles referma soigneusement la porte puis la mena dans les escaliers. D’habitude, ils prenaient l’ascenseur mais ce jour-là, Gilles voulait le plus possible voir sa soumise ...
«12...456...10»