Surprise par mon oncle (1) - Histoires de Sexe

Surprise par mon oncle (1)

... cambrées, rondes, fermes. Je me trouve belle.

Plusieurs questions viennent dans mon esprit. Comment dois-je m’habiller pour recevoir mon oncle ? Comment dois-je me maquiller ? Je prends la décision de m’habiller très simplement, avec un bas de jogging, et un polo qui ne me moule pas trop la poitrine. Je ne me maquille pas, et me fais une queue-de-cheval. Voilà, c’est décidé, je serai ainsi à l’arrivée de mon oncle, comme ça, je ne serai pas provocante.

14H00 arrive. Je suis à l’affût des bruits des moteurs de voiture qui pourraient entrer dans le parc. Mais il peut aussi venir à vélo, puisqu’il n’habite pas loin de chez moi. Je pense qu’à vélo, il doit en avoir pour 20 minutes.

Je suis installée dans le canapé, devant la télévision, le son pratiquement en sourdine pour entendre le bruit d’un moteur arriver devant la maison. Mais j’entends frapper à la porte ! J’ai un sursaut ! Qui est à la porte ? Je me lève, me dirige vers cette porte d’entrée, et, en ouvrant, je découvre mon oncle. Il est venu à vélo. Il voit que je suis ennuyée, surprise en même temps.

— Bonjour Nathalie. Tu avais oublié notre rendez-vous ?

— Non, pas du tout, mais je ne t’ai pas entendu arriver.

— Je suis venu à vélo. Ça me fait faire un peu de sport, et je l’ai mis derrière la maison.

— Entre.

C’est bien ce que je disais, il se passe quelque chose d’étrange. Ce n’est pas dans ses habitudes de cacher son vélo. En général, il le met devant la maison. C’est un premier signe.

Il ...

... entre, je referme la porte derrière moi et le suis. Il va dans la salle à manger, s’assoit à la table, j’en fais de même. Je ne suis pas très bavarde, lui non plus. On se regarde.

— Si tu veux fumer devant moi, tu peux le faire. C’est notre secret. Tu te souviens ?

— Oui, mais je ne vais pas fumer dans la maison à cause de l’odeur. Je vais dehors.

— Tu ne fumes jamais à l’intérieur ? Remarques tu as raison, tes parents risque de sentir.

— Il m’arrive des fois de rester dans ma chambre, mais c’est le soir, quand tout le monde est couché.

Je le sens différent des autres fois qu’il passe à la maison. Je suis mal à l’aise, et lui, il semble légèrement nerveux, comme tendu ou impatient de quelque chose. Pour le moment, rien ne se passe, je commence à me dire que je me suis fait des idées, mais qu’il est là, devant moi, pour me faire la morale.

— Depuis combien de temps tu fumes ?

— Depuis quelques mois. Mais je ne fume pas beaucoup. J’ai commencé avec des copines, à la sortie du Lycée, et maintenant, à la maison quand je le peux, surtout le soir quand je suis sûre que personne ne viendra jusqu’au fond du terrain.

— Tu sais que fumer n’est pas très bon pour la santé ?

— Oui, mais je ne fume pas comme un fumeur régulier. Je ne vais pas continuer de toute façon.

— C’est ce que disent tous les fumeurs.

Ces réponses ont l’air d’être saines, sans arrière-pensées, c’est bien ce que je me dis, je me suis trompée et me suis fait des idées. J’avoue que j’étais ...