Surprise par mon oncle (1) - Histoires de Sexe

Surprise par mon oncle (1)

Comme toutes mes histoires, celle-ci est réelle. La seule chose qui est modifiée dans cette histoire, ce sont les prénoms, pour garder une certaine discrétion.

Avant de vous rédiger ce récit, je tiens à remercier personnellement une femme, avec qui j’échange en toute liberté, sans pudeur et sans jugement de sa part. (Tu te reconnaîtras ma belle). Sans elle, je ne me serai pas lancée dans cette rédaction de texte.

Si je vous raconte cette période de ma vie, c’est parce que je n’en ai jamais parlé à quelqu’un, même ma meilleure amie ne le sait pas. Pourquoi allez-vous me demander ? Et bien tout simplement parce que j’ai honte de ce qui est arrivé, une sorte de culpabilité qui m’habite depuis toujours. J’ai beau me dire que ce qui est arrivé n’est pas de ma faute, que j’avais le rôle de victime, et que je n’avais pas le choix. Ce qui me fait culpabiliser un peu plus est qu’avec le temps, je prenais plaisir à faire plaisir à cet homme : mon oncle...

Je suis une adolescente sans histoire, une scolarité normale sans être la meilleure de ma classe, des amies, une vie équilibrée avec des parents attentionnés, sans manquer de rien. Sans être issue d’une famille bourgeoise ou aisée, mes parents et moi n’avons jamais manqué de quoi que ce soit. Etant fille unique, je dois avoir ce privilège d’avoir un peu ce que je veux.

J’ai fumé mes premières cigarettes vers l’âge de 19 ans. Comme beaucoup parmi vous je pense, j’ai commencé à fumer avec des copines de l’époque, en ...

... cachette, sans vraiment avaler la fumée. Puis, un jour, j’ai réussi à me procurer un paquet pour moi toute seule. Loin d’être accro à la cigarette, heureuse d’avoir un paquet neuf pour moi, quelques fois, je m’octroie la liberté d’aller en fumer une, le soir, à l’extérieur de la maison, au fond de notre parc arboré, seule. La cigarette est un cercle vicieux, et donc, j’avais une amie plus âgée que moi qui me prenait des paquets. C’est ainsi que je pris l’habitude d’aller fumer, seule, au fond de notre parc, surtout le soir après le repas, ou bien un peu plus tard dans la soirée. Au fur et à mesure, j’ai pris le mauvais pli à fumer un peu dans ma chambre, quand il faisait un peu trop frais dehors. Bref, ce petit rituel a duré longtemps. Je ne voulais surtout pas que mes parents le sachent. Mais mon secret a été découvert une soirée.

Mon oncle Marc et sa femme Martine sont invités un soir à la maison pour venir manger avec nous. Il est environ 19H00, de ma chambre, je vois leur voiture entrer dans l’allée et se garer devant la porte de notre garage. Je les regarde descendre de leur voiture, prendre quelques affaires du coffre et se diriger vers la porte de notre maison.

Marc est assez bel homme d’environ 45 ans (j’en ai à cette époque 19). Belle chevelure qui tire maintenant vers le sel et poivre, d’une taille normale que j’estimerais à 1m75, sans trop de ventre, il a tout de même une petite brioche. Il est toujours de bonne humeur, aime l’humour. Il est toujours habillé ...