Surprise par mon oncle (1)
Datte: 02/04/2020,
Catégories:
Inceste / Tabou
Auteur: dodomido, Source: Xstory
... bavardages. Je suis d’un naturel silencieux, pas très bavarde. Mais je participe un minimum aux diverses conversations.
Le plat de résistance étant terminé, je sais au fond de moi que le dessert va se faire attendre, comme d’habitude ! Alors je me lève et prétexte que je vais dans ma chambre pour aller fermer la fenêtre qui est toujours ouverte, et qu’il va faire froid à l’intérieur. Mais en fait, ça fait du bien d’avoir un peu de calme, les adultes sont bruyants et parlent fort.
Une demi-heure après, j’entends la voix de ma mère m’appeler pour manger le dessert. Il est pratiquement 23H00 ! Je descends de ma chambre, et me joins à eux. Je me souviens d’une tarte aux pommes faites par les mains expertes en cuisine de ma mère.
Je trouve que le temps passe lentement. Je m’ennuie à force ! Il est un peu plus de minuit, je décide d’aller me coucher. Je me lève de table, dis au revoir à tout le monde, et file dans ma chambre.
Et si j’allais fumer une cigarette avant d’aller me coucher ? Après tout, ce n’est pas tous les soirs que je peux en profiter. Je sors de ma chambre, je descends doucement les escaliers, mais au lieu de tourner à gauche qui me mènera vers la salle à manger, je préfère tourner à droite des escaliers, qui me mènent vers la porte de derrière qui donne accès au parc, mais sans être vue de personne.
Je retourne toujours au même endroit, car c’est ici que je sais que je ne risque pas d’être remarqué. Surtout que tout le monde me croit au lit. J’ai ...
... choisi cet endroit au fond du parc parce qu’il est au fond, un peu plus loin, des buissons sont entre la maison et moi, puis ce chêne. Un gros chêne, qui est me complice en me cachant derrière lui. La vue n’est pas des plus belles, derrière le muret, la route, même si elle n’est pas circulante, m’offre la vision de lampadaires. Mais personne ne peut me voir.
Assise dos appuyé contre le chêne, je regarde le ciel en fumant. J’entends un bruit que je n’ai pas l’habitude d’entendre. Je tourne la tête, aperçois une silhouette d’un homme. Je prends peur, mais je ne bouge surtout pas. J’écrase silencieusement ma cigarette. Je reconnais cette silhouette ! C’est celle de mon oncle ! Que fait-il ici ? Pourquoi va-t-il au fond du parc ? Tant de questions me traversent l’esprit jusqu’au moment où j’ai la réponse. Il est à environ 10 mètres de moi. Il est de profil, et, malgré la pénombre, je devine son sexe et j’entends son urine arroser l’herbe. Je me refuse de regarder davantage et surtout je me sens très gênée de pouvoir plus ou moins distinguer son sexe. C’est mon oncle !
Je ne bouge toujours pas, je respire lentement, et, pour être sûre qu’il ne va pas venir vers ma direction, je regarde à nouveau vers sa direction. Je devine, par le geste et la petite clarté de la lune qu’il s’égoutte le sexe et le remet à sa place. Ouf ! Il va s’en aller.
De la position profil il passe à la position en face de moi. Il ne me voit pas. Je ne bouge toujours pas. Il se rapproche de moi, sans me ...