La fin de l’aventure avec ma salope de belle-mère (Suite 5)
Datte: 02/04/2020,
Catégories:
Entre-nous,
Hétéro
Auteur: Perruche, Source: Hds
... s’allongeait et attendait que je la dénude patiemment puis comme elle me l’avait fait une demi-heure avant, je parcourais son corps de mes mains et ma bouche, j’aimais lui prendre les seins en les malaxant lentement, pendant que je jouais avec les tétons durcis par le désir que je prenais entre mes dents. Je devinais qu’elle était trempée d’excitation, je passais d’un sein à l’autre puis lentement je descendais mes deux mains sur son ventre plat bien entretenu par ses séances d’abdominaux qu’elle faisait régulièrement, où je m’attardais en coiffant de mes doigts, ses poils pubiens très bien entretenus.
Lorsque je m’apercevais qu’elle montait son bassin, en se poussant de ses pieds et de ses épaules, je devais ne plus tarder à m’occuper de son vagin qu’elle me tendait. J’approchais alors mon visage de son entrejambe qu’elle écartait au maximum afin que je puisse glisser ma tête entière entre ses cuisses. De ma langue, je léchais ses lèvres de l’extérieur à l’intérieur, du bas en haut, puis de mes doigts, pendant que ma langue s’attardait sur son anus, je caressais son clitoris. En général, c’était à ce moment qu’elle coulait plus fort, quelques fois c’était un jet qui sortait de son sexe. Mes deux doigts la pénétraient, Je les actionnais d’avant en arrière, lentement puis en accélérant le mouvement, elle se cambrait, elle jouissait en me noyant littéralement ma main et la grande serviette éponge par la même occasion.
— Que c’est bon mon « petit lapin ». Bois-moi.
Je ...
... ne me faisais pas prier, je me régalais de sa cyprine mélangée à son éjaculation, qui coulait déjà sur ses cuisses, j’essayais de laper tout ce que je pouvais. J’aimais ce goût acidulé, légèrement salé qui s’écoulait de son sexe, c’était pour moi mon dessert qui me redonnait de l’énergie.
Une heure c’était passée, il était temps pour nous, après nous avoir donné du plaisir mutuellement, de retourner à la cuisine, toujours nus, boire un café afin de reprendre des forces pour l’étape suivante. Sophie avait une capacité à changer de sujet qui m’étonnait. Pour ma part, je ne pensais qu’à son cul, mes pensées n’étaient que sexuelles néanmoins, elle me parlait de la pluie du beau temps, de mon travail, de ses amies pour revenir sur ses activités qu’elle avait avec ses partenaires. Cela devait la mettre en condition, car elle venait se mettre assise sur moi à califourchon en me prenant par le cou pour m’embrasser sensuellement voire amoureusement. Par de petits mouvements d’avant en arrière, elle se frottait la raie contre ma queue qui n’était pas insensible, elle reprenait un peu de vigueur mais il en fallait encore un peu plus avant qu’elle obtienne sa taille optimale. Sophie me connaissait par cœur, de sa main gauche, elle me soupesait les bourses qui avait pour effet un bon début d’érection.
J’avais besoin de beaucoup d’affection et Sophie savait m’en donner, elle m’embrassait le cou, le torse, les bras et léchait même les aisselles, cela m’excitait, elle ressentait sur son ...