La fin de l’aventure avec ma salope de belle-mère (Suite 5)
Datte: 02/04/2020,
Catégories:
Entre-nous,
Hétéro
Auteur: Perruche, Source: Hds
La fin de l’aventure avec ma salope de belle-mère (Suite 5)
Avant mon mariage, la relation avec ma belle-mère avait duré plus d’un an avec elle, j’avais appris à me servir de mon sexe afin de contenter toutes les salopes de la terre entière. Elle avait fait de moi un homme un vrai, elle était ma salope. Je ne l’avais pas cherché, ce fut ma femme qui m’avait donné à sa mère. En effet, à cette époque, je travaillais du matin, ne voulant pas que je sorte les après-midis, Lili m’envoyait chez sa mère en attendant qu’elle rentre du travail. J’arrivais donc vers treize heures chez Sophie, les deux femmes me servaient mon déjeuner puis Lili repartait au boulot. Nous profitions donc de toute l’après-midi pour faire l’amour. Sophie me traitait comme un prince, elle m’installait au salon afin que je puisse faire une petite sieste pendant qu’elle débarrassait et allait se préparer en enfilant des tenues érotiques dont je raffolais. Elle venait ainsi me rejoindre en apportant mon café que je buvais en l’admirant faire ses poses plus ou moins subjectives. Le striptease qu’elle faisait que pour moi, les petits baisers qu’elle me faisait, m’excitait au plus haut point et me mettait dans un état d’érection maximum.
Près d’un an s’était passé depuis mon mariage, nous avions au moins deux relations sexuelles par semaine, ma belle-mère et moi. Ce jour-là, après la sieste bien méritée, elle était venue devant moi, me déshabillait lentement tout en me caressant et m’embrassant ...
... sensuellement. Il ne me fallait pas longtemps pour me préparer à la débauche. Ses mains étaient tellement douces, ses lèvres tellement gourmandes, qu’elle humidifiait avec sa salive me parcourant tout le corps pendant de longues minutes et son savoir-faire, faisaient de moi son esclave. Tous ces préliminaires me faisaient bander comme ce n’est pas permis.
Après une vingtaine de minutes à ce rythme, elle aimait me faire ce qu’elle appelait « ma gâterie », elle ne voulait pas que je m’occupe d’elle, tant qu’elle ne m’avait pas donné du plaisir par cette fellation qu’elle seule savait me faire. De ses lèvres entourant mon gland gonflé au maximum, l’aspiraient en y passant sa langue, de sa main gauche, elle me massait les testicules et glissait de bout de ses doigts de la main droite sur la longue hampe de ma queue tendue pour elle. Puis au fur et à mesure, elle enfonçait mon engin progressivement dans sa bouche jusqu’au plus profond de sa gorge, en faisant des va et vient lents mais réguliers, tout en me fixant droit dans les yeux. Lorsque ma verge était entièrement engloutie dans cette caverne mouillée par toute sa salive et ses glaires, je me vidais, elle avait gagné, je sentais en éjaculant les jets de sperme sortir de mon pénis en remplissant sa bouche de mon liquide qu’elle affectionnait particulièrement. Puis elle avalait mon jus avec désir en me souriant, ses yeux rieur, sa bouche sensuelle étaient un appel à l’amour.
C’était à son tour de recevoir toutes mon intention, elle ...