Philippe, le mari candauliste et Olga, l’épouse hypersexuelle (34) : adultère… avec Philippe.
Datte: 01/04/2020,
Catégories:
Entre-nous,
Hétéro
Auteur: Olga T, Source: Hds
... envie de moi, tout à l’heure tu me rejoindras près de la réception, c’est compris...
• Oui Monsieur T.
Sur cette parole il s’éloigne et va rejoindre sa table. J’ai les jambes en coton, j’invite une autre personne puis encore une autre mais mon esprit est près de Philippe, je sens mon sexe tout humidifié.
Je suis effectivement sous le charme et j’ai très envie de lui. Au dessert, il vient dans mon dos et profitant de la cohue autour du buffet il pose sa main sur mes fesses et me les caresse au-dessus de ma robe, je suis tétanisée, on pourrait le voir, il se colle à mes fesses et je ressens l’effet que je lui fais ! Il me dit à l’oreille :
• Jamais tu ne m’avais fait bander ainsi. Je te veux, épouse adultère !
ADULTERE
Les danses se succèdent, je sais qu’il me regarde, je perçois ses yeux sur mon corps, profitant que tout le monde ou presque est sur la piste je quitte la salle et me dirige vers la réception. Christine, qui a compris ce qui est en train de se passer, va nous aider, en accaparant Hassan pour détourner son attention.
Une main se saisit de mon bras : c’est Philippe, il me guide vers un vestibule, nous pénétrons à l’intérieur et il verrouille la porte, il est dans mon dos, face à moi il y a une table ronde sans rien dessus.
Ses mains se posent sur le zip de ma robe qu’il descend jusqu’à l’arrêt puis il dégage mes épaulettes et ma robe tombe à mes pieds. Je suis de dos, en sous-vêtements, en présence de mon ex-mari. 9 ans après mon premier ...
... mariage, je m’apprêtais à être à nouveau adultère le jour même du mariage, mais cette fois sans être poussée dans mes derniers retranchements et en assumant parfaitement ce que je suis en train de faire.
Philippe fait sauter l’attache de mon soutien-gorge, ses mains s’emparent de mes seins qu’il malaxe durement tout en faisant rouler entre ses doigts mes tétons en érection. Il finit par lâcher mes seins et s’attaque à mon string qu’il baisse à mi-cuisse et me fait écarter les jambes tout en m’intimant l’ordre de me plier sur la table. Il s’agenouille et son souffle est perceptible sur mes fesses qu’ils séparent puis sa langue pointe sur mon orifice. Sa bite est tendue au maximum il la guide vers mon nid d’amour, je suis trempée comme jamais je ne l’ai encore été, il s’amuse à la frotter sur mes lèvres vaginales qui s’ouvrent à lui et me saisissant par les hanches me pénètre violement jusqu’à la garde puis s’immobilise au fond de mon utérus.
Ni lui, ni moi nous nous préoccupions que je n’étais pas protégée, je voulais m’offrir pleinement à Philippe, me faire pardonner de l’avoir abandonné.
• tu la sens bien ma queue, chérie ?
• Oh oui elle est bonne, baise-moi !
Il commence par se retirer pour mieux replonger à l’intérieur de cette grotte qui suinte de mon jus abondant. Il pousse des han de bûcheron pendant qu’il me besogne le ventre, je sens tout mon être qui répond à ses assauts.
• Bourre-moi, plus fort ! Oui, ça vient ; n’arrête pas s’il te plait, inonde ma ...