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La bourgeoise et le marabout (29)
Datte: 01/04/2020, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: hélène75, Source: Xstory
... entré entièrement et je sens ses bourses bien dures collées contre mes fesses. Il doit deviner que je me suis enfin habituée à cette énorme bite qui me fend en deux, car le voici qui commence de doux va-et-vient. Le plaisir commence à remplacer la douleur et au bout de cinq minutes, me voilà qui lui demande : — Oui Moussa, baise-moi bien ! Je suis ta petite pute, prends moi fort. Les deux copains comprennent que je suis maintenant prête pour l’assaut final. Seydou se glisse sous moi et réussit à glisser sa belle queue dans ma chatte sans que Moussa soit obligé de changer de position. Je m’allonge bien sur Seydou et je lui donne ma bouche. Tout en me baisant la chatte et en mêlant sa langue à la mienne, il pose ses énormes mains sur mes fesses et fait en sorte de bien les ouvrir pour que Moussa puisse m’enculer encore plus profondément. Les deux copains y vont maintenant de bon cœur et arrivent à bien synchroniser les mouvements. Leurs deux queues me pilonnent en un rythme régulier et je fonds littéralement sous leurs coups de boutoir. Le téléphone de Moussa est posé de manière à filmer nos ébats et j’imagine que maître Coulibadou et François nous regardent. Pour bien jouer le jeu, je crie à mes deux amants du moment : — Oui c’est bon ! Baisez-moi encore plus fort ! — Je suis à vous, je suis une salope ...
... à blacks ! — Mon mari aime me prêter et maître Coulibadou aussi ! — Remplissez-moi, videz vous bien en moi. Je ne compte plus les orgasmes qui me terrassent et j’ai l’impression de n’être plus qu’un objet sexuel dont les deux hommes usent et abusent comme ils le souhaitent. Mais eux aussi doivent être bien excités, car Seydou dit soudain à son copain : — Quelle superbe salope ! Je vais jouir comme cela m’arrive rarement. Moussa lui répond : — Oui, c’est vraiment une bonne petite femelle, une salope comme on raffole. Je vais lui cracher tout mon jus. Lorsqu’ils se vident de tout leur jus, je suis emportée dans un tourbillon de plaisir. Une fois qu’ils se retirent de ma chatte et de mon cul, je reste allongée quelques instants pour reprendre mon souffle et retrouver mes esprits. Moussa reprend son téléphone et dit à son interlocuteur. — Merci, mon frère, tu as fait de cette jolie bourgeoise une superbe salope. Tu peux revenir la récupérer avec son mari. Une heure plus tard, je suis de retour à notre appartement. François et maître Coulibadou vont me baiser à leur tour et c’est remplie de leur foutre que je m’endors vers deux heures du matin. J’espère que dans quelques semaines, ils me ramèneront de nouveau au bois pour m’offrir à qui le souhaîte. C’est bon de se donner à des inconnus...