1. La bourgeoise et le marabout (29)


    Datte: 01/04/2020, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: hélène75, Source: Xstory

    ... Loréna est occupé à son tour dans le véhicule, un petit jeune de dix-huit ou vingt ans s’arrête près de moi en scooter. Il me dévisage, me mate, mais n’ose pas m’aborder. Je m’approche de lui en ouvrant grand mon imperméable pour qu’il puisse mieux me voir et je l’interpelle :
    
    — Viens avec moi chéri, je suis ici pour le plaisir prêtée, par mon mari.
    
    Faute de pouvoir disposer du lit du camping-car, je l’entraîne vers le sous-bois et je lui demande de bien se caler le dos contre un arbre. Je me mets à genoux devant lui, lui caresse les bourses puis, une fois que sa queue est bien raide, je lui enfile la capote et je commence ma fellation.
    
    Le petit jeune me dit :
    
    — Va doucement s’il te plaît. C’est la première fois et je ne voudrais pas jouir trop vite.
    
    Tout en continuant à lui caresser la queue d’une main, je me relève, me colle lui et lui offre mes lèvres. Je lui dis :
    
    — Je vais prendre soin de toi. Profite de moi comme tu as envie.
    
    Une fois la surprise passée, mon jeune amant m’embrasse à pleine bouche et ses mains parcourent mon corps en s’attardant sur mes fesses et mes seins.
    
    Au bout de quelques minutes, il me dit :
    
    — C’est super !!! Je ne pensais pas que ce serait si bon !
    
    Je lui réponds en accentuant la pression de ma main sur son sexe et en me collant encore plus contre lui :
    
    — Moi j’adore les petits jeunes, surtout les novices !!!
    
    C’est maintenant moi qui prends appui contre l’arbre en tournant le dos à mon jeune amant. Il comprend ...
    ... vite qu’il peut investir les lieux. A peine sa queue est-elle au fond de ma chatte qu’il se met à me donner de grands coups de bas-ventre. Je lui dis :
    
    — Plus lentement chéri, sinon tu vas jouir trop vite. Tu dois profiter de moi !
    
    Sur mes conseils, il ralentit la cadence et c’est beaucoup plus agréable pour nous deux, surtout pour moi. Prenant de l’assurance, il n’hésite pas à ressortir de ma chatte pour mieux y revenir. Il me lime et me besogne avec application. Ses deux mains continuent à me caresser les seins et les cuisses, j’adore. Le voici maintenant qui se raidit et se vide en longs jets puissants. Je lui retire la capote, essuie bien sa queue, l’embrasse sur la bouche et le remercie. Il s’éloigne vers son scooter tandis que je reviens vers le camping-car.
    
    Pendant les deux heures qui suivent, je vais m’offrir à cinq ou six autres messieurs ; des jeunes et des vieux, des blancs, des blacks et des beurs, des éjaculateurs précoces et des « longs à jouir », des maigres et des gros...
    
    Vers minuit et demi, un coupé sport noir avec vitres teintées s’arrête à notre hauteur. Deux jeunes blacks en descendent et, s’adressant directement à moi, me disent :
    
    — C’est toi Hélène ? Nous sommes des amis de Coulibadou, il nous a dit que tu étais ce soir au bois et que nous pouvions passer en profiter.
    
    Je fais un grand sourire à Loréna puis, me tournant vers les deux jeunes, je leur réponds :
    
    — Oui c’est bien moi. Les amis de mon maître Coulibadou sont mes amis et ...