Ascenseur de la sexualité
Datte: 31/03/2020,
Catégories:
fh,
fhh,
fplusag,
couleurs,
cocus,
Collègues / Travail
ascenseur,
Oral
pénétratio,
Partouze / Groupe
fsodo,
jeu,
confession,
Auteur: Romain, Source: Revebebe
... je vois son mari, mais il reste discret. Pourtant sa présence supposée est un formidable aiguillon. C’est comme un défi à relever de lui montrer ce que je peux faire de sa femme, et du même coup de ce qu’il peut en profiter.
Je commence par une fellation, la tête en arrière, position devenue notre « mise en bouche ». Mais une fellation menée à son terme et qui me permet de me vider les couilles dans la gorge maintenant bien plus accueillante. Ainsi l’homme peut voir sa femme, le visage souillé et la bouche pleine de mon foutre que je lui ai appris à goûter de la langue avant de l’engloutir.
Et puis une baise où elle me chevauche, cavalière qui se donne du plaisir toute seule. Elle se possède sur mon mandrin qu’elle connaît bien maintenant et qui lui semble presque normal, ce qui me fait penser qu’un jour je pourrai venir avec mon cousin pour une surprise. Je suis persuadé que son mari n’a jamais vu sa femme ainsi, exaltée, excitée, se caressant les seins, se frottant le clitoris dans une danse frénétique dont la musique n’est faite que de « Oh… Oui… C’est bon… T’es gros… J’adore… Je jouis… » Et si j’attrape un téton pour le tordre, « Oui… Fais-moi mal… Je suis une salope… Je mérite d’être punie… Encore… » Et lorsque sa jouissance la submerge, que son regard se trouble derrière ses cils collés de sueur et de salive, que sa bouche éructe son plaisir avec des restes de mon foutre, alors moi aussi je me joins à elle, cherchant un reflet, une ombre qui me montrerait la ...
... présence du mari.
Mais d’une certaine façon je n’ai pas besoin de le voir. Moi aussi, de me savoir observé, je me sens autre : plus fort, plus puissant, plus vigoureux. Une vigueur qui me permet, presque dans la foulée, de posséder Véronique en levrette. Une levrette maintenant classique, à quatre pattes face à la grande baie vitrée qui permet de voir chez les voisins, de l’autre côté de la rue. Des voisins qui, s’ils levaient la tête, pourraient deviner des ombres se déplacer bizarrement.
Je la baise avec force, lui tirant sur les cheveux pour la faire se cambrer et s’offrir encore plus. Mon ventre claque contre ses fesses, rythmant nos gémissements. Oui, nos gémissements, et donc les miens car je dois reconnaître que Véronique me comble. C’est une femme pleine de surprises. Une DRH froide, distante, cassante ; mais dès que le masque tombe, elle devient une femme, une femelle qui chaque jour découvre et expérimente sous ma direction des plaisirs nouveaux. Je suis son formateur et je suis fier d’être, si jeune, un enseignant pour cette épouse qui passait à côté de sa sexualité. Et ce soir je sais que, par ricochet, cette aventure fait le bonheur de son mari.
Et il est là, le mari, quelque part à nous observer. Que pense-t-il de ce que je lui offre ? Il doit être étonné, surpris et j’espère heureux de découvrir une épouse qui ne doit lui montrer une fois chez elle que l’écume de sa nouvelle sexualité. Est-ce que ce n’est pas trop fort pour lui, cette femme, cette épouse, ...