1. Ascenseur de la sexualité


    Datte: 31/03/2020, Catégories: fh, fhh, fplusag, couleurs, cocus, Collègues / Travail ascenseur, Oral pénétratio, Partouze / Groupe fsodo, jeu, confession, Auteur: Romain, Source: Revebebe

    ... annonçait !
    
    Je me sens piégé. Comment réfuter ces preuves ? Ce que le film va montrer, c’est moi en train de lécher sa femme. Il me reste l’indignation :
    
    — Quoi, la surprise c’est que je suis noir ? Vous êtes raciste. Cocu par un Blanc, ça vous va. Mais par un Black, c’est trop !
    — Calmez-vous. Vous voyez qu’il n’y a aucun doute, et encore une fois je ne suis pas ici pour faire un scandale, vous casser la gueule (petit rire), encore qu’avec votre carrure c’est plutôt moi qui sortirais amoché.
    — Alors, qu’est-ce que vous voulez de moi ? Que je cesse de voir Véronique ?
    — Non, non, surtout pas.
    
    Il semble effrayé de cette éventualité. J’ai du mal à comprendre. Cela doit se voir sur mon visage.
    
    — Je dois vous faire une confidence : chaque soir ma femme me revient encore chaude de vos étreintes, et ces étreintes en provoquent d’autres avec moi. Des étreintes que nous n’avions plus depuis longtemps, des années, Véronique s’étant totalement plongée dans son travail. Mais ce ne sont pas seulement des « baises » – excusez ma vulgarité –, c’est surtout l’intensité de nos échanges. Chaque soir vous me renvoyez une femme plus chaude, plus entreprenante, plus sensuelle, plus innovante. Tenez, l’antre matin elle ma sucé jusqu’à ce que je jouisse dans sa gorge. Vous imaginez ?
    
    Bien sûr que j’imagine. Il m’a fallu batailler longtemps pour qu’elle accepte mon foutre en bouche.
    
    — Ah… Je ne sais pas quoi dire. C’est assez inattendu. Mais si cela a pu vous rendre service, ...
    ... j’en suis heureux. Donc on ne change rien, si je vous comprends à demi-mots.
    — Rien. Enfin, presque rien ; juste un détail : je voudrais vous regarder.
    — Nous regarder ? Vous voulez dire faire le voyeur ?
    — On appelle cela le candaulisme. Bien que dans mon cas je n’aie pas mis ma femme dans vos bras, elle s’y est mise toute seule. Mais maintenant, chaque soir, avant qu’elle n’arrive et pendant que nous baisons, je ne cesse de l’imaginer dans les bras d’un autre. Je voudrais vivre vraiment cet instant en vous regardant. Rassurez-vous, je resterai caché ; je ne dirai rien qui ne perturbe votre rencontre : pas d’esclandres, pas de cris. Juste une ombre. Véronique ne se doutera de rien.
    — C’est pervers…
    — Non, c’est la vie. On peut être cocu et fâché de l’être. Moi j’ai choisi – enfin, pas vraiment – d’être cocu mais d’en tirer tous les avantages, comme des dizaines de milliers de maris candaulistes.
    
    Je comprends que je peux difficilement refuser. Le voyeurisme, je le pratique lorsqu’avec mon cousin nous nous partageons la même femme ; mais un mari qui regarde m’étonne plus.
    
    Quelques minutes plus tard, je le laisse à l’étage en dessous pour continuer par l’escalier alors que moi je finis en ascenseur.
    
    Véronique m’attend. Elle est impatiente. C’est vrai que chaque jour elle devient de plus en plus coquine, inventant des scénarios, me laissant libre de jouer avec son corps et le mien. Ce soir, je l’entraîne aussitôt dans son bureau. Je ne peux m’empêcher de regarder si ...
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