Ma femme fait des choses (vraiment) très sales en cachette ! (1)
Datte: 01/04/2018,
Catégories:
Trash,
Auteur: Inavouable69, Source: Xstory
... comme dégueulasserie qui pouvait me surprendre par rapport aux acrobaties merdeuses de la semaine précédente avec l’italien. Les deux femmes se léchaient activement en 69, et en regardant plus attentivement la vidéo, j’eus une petite idée de ce qu’elle me réservaient peut-être. Chacune d’elle, dans une synchronicité étonnante et sans doute réjouissante, avait une ficelle bleue qui dépassait de la chatte. Ces deux petites putes avaient leurs règles, et je priai donc pour que leurs jeux incluent cette disposition. Je ne fus pas déçu.
Rapidement, je vis Marina retirer lentement le tampon de Béatrice, qui sortit de son sexe gorgé de sang figé. Le cul de Béatrice était tourné vers ma caméra et la vue était imprenable. Marina fit courir le morceau de coton sur les fesses de sa partenaire, en pressant légèrement : des traces de sang maculèrent rapidement la peau de la femme, et quelques coulures rouges glissèrent jusqu’au corps de Marina comme des ruisseaux de pluie pourpre. Je vis aussi Marina lui lécher le con, indifférente à la présence du sang qui commençait à couler de l’orifice - indifférente ou excitée. Sans doute excitée...
Les deux femmes changèrent de position. La vulve de Béatrice continuait à répandre du sang sur les draps apportés par Marina, sur son corps. Marina se mit à quatre pattes, et là encore on aurait pu croire qu’elle le faisait pour ma caméra (au contraire de l’italien, Béatrice n’avait pas positionné de caméra - elles ne pensaient donc pas être ...
... filmées du tout). L’amante de ma femme tira sur le tampon de Marina avec ses dents, jusqu’à le retirer complètement. La protection était nettement moins envahie de règles, ais je pouvais en distinguer au bout et sur l’une de ses faces. Béatrice marmonna quelque chose que je ne compris pas, et fourra ses doigts nus dans la moule de ma putain. Elle le fit sans ménagement, et je compris qu’elle voulait toucher et faire gicler son sang. Après quelques instants, ses doigts étaient rouge vif et la vulve de ma chérie laissait apparaître un filet de sang sombre et épais. Béatrice s’en décora le visage; elle était visiblement sans limites.
Leur jeu suivant fut une variante des sœurs ciseaux, version Halloween ! Elles se gouinèrent avec furie, chatte contre chatte, se mélangeant leurs règles et, en plein milieu de leur frottement énergique, en se pissant l’une sur l’autre. Elles étaient visiblement en transe, leur entrejambe visqueux de leur mélange de sang, de pisse et de mouille. Je commençai à me dire qu’il n’y avait peut-être pas de jeu merdeux entre elles.
Puis, j’eus une surprise de taille. Alors que les deux femelles se ventousaient comme des escargots sur une vitre sale, la porte de la suite s’ouvrit. J’en fus tellement estomaqué que dans un sursaut, mes sphincters se contractèrent, éjectant brutalement le gode de mon trou et une bonne dose de merde avec. Je reconnus immédiatement l’homme qui était entré. L’italien, pensez-vous ? Eh bien non : l’un des réceptionnistes de ...