Eucalyptus
Datte: 28/03/2020,
Catégories:
fhhh,
extracon,
nympho,
Voyeur / Exhib / Nudisme
noculotte,
Oral
double,
fsodo,
Auteur: Patrik, Source: Revebebe
... l’as sous la main, aujourd’hui ?
— Ah non ! Mon « bleu de travail est resté à l’Euca. Je ne me balade pas avec. Dois-je comprendre, mon petit Mimi, que tu aurais voulu me voir habillée de la sorte ?
— Je crois que je n’aurais pas dit non…
— Ah, ces hommes ! Tous fétichistes !
Elle proteste pour la forme, mais je vois bien dans ses yeux cette lueur que je connais bien et qui est annonciatrice de bien des promesses qui seront tenues ! Je me réjouis intérieurement de la suite des événements dont j’ai une petite idée, mais dont je ne me lasse pas !
C’est alors que j’ai droit à une splendide démonstration des lois de Murphy, vous savez, les imprévus qui arrivent comme une touffe de cheveux sur la soupe !
Il y a des jours où on sent qu’on a été injustement maudit !
C’est alors qu’on sonne à la porte et que j’entends distinctement la voix d’Isabelle, ma compagne presque officielle. Bordel de merde, elle n’était pas partie chez sa mère pour quelques jours ?
— Ah merde de merde, c’est Isabelle…
C’est Patrice qui réagit :
— Ta compagne ?
— C’est vite dit… disons qu’elle me tient compagnie.
— Avant qu’on se rencontre, tu étais déjà avec elle, il me semble.
— Oui, c’est vrai, mais depuis que je connais Véro, certaines choses ont changé…
Coquine, Véronique sourit :
— Ça veut dire quoi ?
— Ça veut dire que t’es trop bonne, et que les autres femmes ont du mal à t’arriver à la cheville. Bon, Patrice, tu es un copain d’enfance, OK ? Véro, referme-moi ton ...
... décolleté, stp…
— OK ! disent-ils d’une même voix.
Dépité, je me dirige vers la porte, je ne vais quand même pas laisser celle qui occupe mes nuits dehors. Ce qui m’embête, c’est que mes deux femmes vont se rencontrer, et j’aurais aimé éviter ce genre de danger, car l’intuition féminine n’est pas à sous-estimer.
Avant d’ouvrir la porte, je me recompose une bonne figure. Isabelle se jette à mon cou, sitôt qu’elle me voit :
— Coucou, mon Mimi, j’ai pu rentrer plus tôt !
— Je vois ça ! Ta mère va mieux ?
— Tu parles, elle a fait semblant d’être malade pour que j’accoure à son chevet.
— Tant mieux, tu es revenue plus vite !
Nous nous embrassons, je compense par ce baiser la frustration de ne pas avoir pu baiser avec Véronique. Puis quand nos lèvres se décollent, je dis :
— Allez viens, je vais te présenter Patrice et Véronique.
— Patrice et Véronique ? Ils sont là ?
— Ils sont arrivés, il y a dix minutes maxi.
Je fais les présentations ; je vois bien qu’Isabelle regarde Véronique d’une drôle de façon. Une histoire de rivalité féminine ? Nous bavardons un peu, puis quelques minutes plus tard, Patrice et Véro nous quittent. Par précaution, elle me fera un seul bisou sur la joue. Nous leur disons au revoir, puis la porte se referme. L’attaque commence très vite, acide :
— Il y a longtemps que tu la connais, cette Véronique ?
— Depuis que Patrice et moi, nous nous sommes revus. Pourquoi ?
— Elle a un drôle de genre, cette femme…
— Patrice a toujours eu des ...