1. À toute chose malheur est bon !


    Datte: 28/03/2020, Catégories: fh, grp, couple, uniforme, fépilée, noculotte, Oral préservati, double, fsodo, Partouze / Groupe fouetfesse, extraconj, bourge, Auteur: Propilot, Source: Revebebe

    ... train et, au fil des plats, les propos devenaient de plus en plus tendancieux, pour ne pas dire osés. Était-ce là les effets de l’alcool ? L’avenir me démontrera que cette dérive était initiée à dessein et qu’elle n’avait rien à voir avec les effluves du vin que Pierre n’avait de cesse de verser dans mon verre.
    
    Si le vin de qualité coulait à flot, j’étais encore suffisamment lucide pour observer un rituel très particulier et manifestement bien rôdé. Georges ne servait les plats qu’à Corinne, alors que la jeune servante réservait son service à Pierre et à moi. En observant avec un peu plus d’acuité le manège, je m’aperçus que lorsque Georges se penchait pour servir Corinne, cette dernière avait la main qui explorait le dessous de son kilt, le plus discrètement possible et ce sans que Georges n’en soit affecté d’une quelconque manière. Pierre avait manifestement la même habitude envers la jeune servante, sans que cela la dérange.
    
    La discussion ayant atteint son apogée dans le domaine des relations intimes entre les hommes et les femmes, je me permis de poser la question qui me taraudait.
    
    — Pardonnez mon outrecuidance, mais est-ce là une habitude ou peut-être même un rite que de flatter l’intimité des gens qui vous servent ?
    
    Corinne et Pierre se regardèrent et éclatèrent de rire en prenant soin de mettre leur serviette sur la bouche. C’est Pierre qui avec un grand sourire finit par m’expliquer ce qu’il en était.
    
    — Mon cher Jean, au risque de vous choquer, ce que ...
    ... je ne crois pas un instant, nous devons vous avouer que Corinne et moi formons un couple un peu particulier…
    — Particulier ? demandai-je.
    — Disons que dans la société actuelle, nous pourrions être qualifiés de couple… euh… libertin, même si nous ne réservons nos frasques qu’à des intimes et ce dans les limites de cette propriété.
    — Dois-je donc désormais me considérer comme un intime ?
    — Vous pouvez Jean ! Vous pouvez ! répondit Corinne avec le regard pétillant.
    
    J’avais donc été invité dans une maison dans laquelle le libertinage faisait loi. Dire que j’étais à l’aise serait exagéré, mais l’idée même du libertinage n’était pas faite pour me déplaire. Aussi, je comprenais mieux la tenue de la jeune servante et le port du kilt que Georges semblait défendre comme étant une tradition ancestrale.
    
    Je n’avais encore rien vu et la situation se débrida lorsque nous passâmes au salon pour le café et les liqueurs.
    
    - ooOoo -
    
    Le salon dans lequel Corinne me guida, toujours accrochée à mon bras, était aménagé d’un certain nombre de canapés bas et autres poufs du plus bel effet. La décoration du style fin XIXe et l’aménagement ne laissaient aucun doute sur l’usage premier de cet endroit. L’histoire m’apprendra plus tard que ce fameux salon avait été le lieu de parties de jambes en l’air les plus mémorables, selon les dires mêmes de mes hôtes.
    
    Au milieu de la pièce, sur une magnifique table basse, était posées cinq tasses et plusieurs cafetières fumantes distillaient une ...
«12...8910...15»