1. À toute chose malheur est bon !


    Datte: 28/03/2020, Catégories: fh, grp, couple, uniforme, fépilée, noculotte, Oral préservati, double, fsodo, Partouze / Groupe fouetfesse, extraconj, bourge, Auteur: Propilot, Source: Revebebe

    ... rondeurs, il mettait en valeur une poitrine avantageuse sans excès grâce à un décolleté qui laissait entrevoir la blancheur de sa peau laiteuse.
    
    La relative transparence de la robe et les rayons du soleil en provenance de l’entrée m’offraient insidieusement par transparence le spectacle de ses cuisses et surtout de son entrejambe. À cet instant précis, je ressentis une sorte de picotement dans le bas-ventre ; picotement caractéristique d’une envie qu’il aurait été bien incongru d’espérer assouvir en pareille compagnie.
    
    Je ne pouvais détacher mon regard de cette femme qui, un peu par provocation, se sachant très belle, me regardait droit dans les yeux en souriant.
    
    Pierre se leva et, se dirigeant vers son épouse, il dit :
    
    — Ah ! Ma chère ! Vous voilà enfin ! Nous vous attendions. Belle comme vous l’êtes, vous êtes toute excusée. Laissez-moi vous présenter votre sauveur, Jean.
    
    Ils se vouvoyaient. C’était la première fois que je rencontrais un couple qui se disait « vous ». Manifestement, le milieu social dans lequel ils évoluaient n’avait rien de commun avec le mien.
    
    Il lui prit la main et en la guidant vers moi il ajouta :
    
    — Mais, suis-je sot ! Vous vous connaissez déjà ! Alors ? N’est-elle pas magnifique ? me demanda-t-il.
    
    Je me levai, un peu décontenancé par cette femme et tout en lui baisant la main je balbutiai.
    
    — Madame, si j’avais pu me douter que vous fussiez si belle, je ne me serais jamais permis de vous ignorer tout ce temps. Je ne suis ...
    ... qu’un grossier personnage, pardonnez mon indélicatesse.
    — Vous avez tant fait pour moi que je serais bien ingrate de vous considérer comme tel. Mais cessons là les politesses et installons-nous confortablement. Nous pourrons ainsi faire plus ample connaissance.
    
    Nous nous installâmes donc, elle à côté de son mari sur le canapé et moi sur l’un des fauteuils qui leur faisaient face. Nous discutâmes de banalités convenues. Je racontai l’aventure qui m’avait permis de faire connaissance avec Corinne.
    
    Mon hôtesse n’avait de cesse de me fixer droit dans les yeux, hypnotisée qu’elle semblait être par l’uniforme que je portais. Ceci ne l’empêchait pas de croiser et décroiser régulièrement ses jambes, ce qui, compte tenu de la faible longueur de sa robe, me permit d’entrevoir qu’elle portait des bas. De vrais bas de soie avec un porte-jarretelles noir du plus bel effet.
    
    Au bout d’une bonne demi-heure, les effets de l’alcool aidant, les discussions dérivèrent doucement sur des sujets que l’honnêteté et la décence interdisent d’évoquer dans ce milieu, du moins le croyais-je.
    
    C’est Corinne qui initia un sujet délicat, avec une certaine finesse.
    
    — L’uniforme vous sied à merveille, Jean, me dit-elle en décroisant les jambes.
    — Vous savez, l’uniforme n’est pour moi qu’un bleu de travail ! Il ne représente rien d’autre.
    — Vous êtes parfaitement conscient du pouvoir qu’une telle tenue peut opérer sur les femmes ?
    
    Je la voyais venir avec ses sabots. Je fis mine de ne pas bien ...
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