1. Les démons de Noémie II : La traque (1)


    Datte: 01/04/2018, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: alchophe, Source: Xstory

    ... génial !"
    
    Enzo la pilonna encore plus brutalement en frappant de toutes ses forces sur la peau meurtrie de la jeune femme, la faisant presque défaillir. Sa queue alla de plus en plus vite dans l’anus endolori et son ventre tapa sur les fesses à toute vitesse. Après d’énormes coups de boutoirs, il se retira, à bout de souffle. Enfin libre, la jeune femme s’écroula à terre et s’allongea sur le dos. Les jeunes se branlèrent juste au-dessus et éjaculèrent enfin, en poussant de longs râles de plaisir. Les jets chauds giclèrent, en flots énormes et s’écrasèrent sur le corps tremblant de la belle philippine. Couverte de sperme, de la tête aux pieds, elle se releva et demanda à Kévin si elle pouvait utiliser la salle de bain avant de partir.
    
    — "Oui, ma chérie, bien sûr ! Dis merci à mes potes, quand même ! Ils t’ont bien baisée, hein ?"
    
    — "Mer... Merci...", dit-elle, en serrant les dents.
    
    — "Pas de quoi, salope ! Quand tu veux !", s’esclaffa Léo.
    
    — "Dis-le qu’on t’a bien baisée !", cria Benjamin
    
    — "Vous m’avez bien baisée..."
    
    — "Et enculée...", rajouta Enzo.
    
    — "Vous m’avez bien enculée..."
    
    — "Allez, pars te laver et va-t-en !", lança Kévin.
    
    Une quinzaine de minutes plus tard, la jeune femme sortit de la maison. Son téléphone sonna immédiatement.
    
    — "Voilà qui je suis. Je suis celui qui te suit partout et qui connaît tous tes secrets."
    
    — "Pourquoi m’avoir amenée ici ?"
    
    — "Pour te montrer... Je sais que tu as connu ce gamin par hasard. Et je ...
    ... voulais que tu saches que je pouvais à tout moment savoir ce que tu faisais et avec qui..."
    
    — "Qui êtes-vous ? Que voulez-vous ?"
    
    — "Je suis ce qu’ils appellent "l’œil", un superviseur. Vous avez toutes un "déclencheur" et un "œil". Les premiers organisent, déclenchent les filles sur demande. Nous, on s’assure que tout se passe bien. Si la situation s’envenime, on élimine les menaces. Et si une fille part en vrille, on la "neutralise".
    
    Noémie avala sa salive. Elle se sentit évidemment visée. Mais elle était encore en vie...
    
    — "Pourquoi me dire tout ça ?"
    
    — "Comme tu as pu le constater, je peux à tout moment t’atteindre et même bloquer tes messages de détresse et..."
    
    Noémie rit, ce qui coupa net "l’œil".
    
    — "Ce n’était pas un message de détresse. C’était un code pour signifier que j’étais bien arrivée à cet adresse. Si ce code ne parvenait pas à mon ami, il se mettait en route pour venir me secourir. En ce moment même, il doit pointer son arme sur vous. Vous avez bien sûr vérifié tout le terrain à mon arrivée, mais pas après. Je connaissais le temps qu’il me fallait pour venir. Si le message ne partait pas comme prévu, mon complice avait une demi-heure pour se rendre sur place."
    
    — "Je vois, on ne m’a pas menti à ton sujet... Tu as peut-être une chance... On en reste là pour aujourd’hui. Rappelles ton chien de garde et tout ira bien. Je te recontacterai."
    
    L’homme raccrocha. Moussa rejoint rapidement Noémie.
    
    — "Je n’ai pas pu voir son visage.", ...
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