1. Les vacances de Julie (2)


    Datte: 26/03/2020, Catégories: Trash, Auteur: Anonyme, Source: Xstory

    ... publique. Bien décidé à continuer à jouer malgré tout, je me suis placé derrière elle, et tandis que ma main gauche se posait sur sa hanche, la droite est allée se glisser sous sa robe. Je l’ai sentie frémir, surprise, lorsque mes doigts ont effleuré sa chatte. Elle mouillait tellement ! Je la sentais qui dégoulinait littéralement le long de ses cuisses. Je me suis amusé un moment à glisser mes doigts à l’entrée de son sexe, malgré les regards réprobateurs qu’elle me lançait. Puis quand j’ai eu les doigts bien imbibés de mouille, je les ai glissés entre ses fesses, et lentement, j’en ai enfoncé un dans son anus, puis le deuxième. Julie soupirait d’aise.
    
    — Tu croyais que j’avais oublié ce trou là ? lui ai-je demandé à l’oreille.
    
    — Non... Tu fais ce que tu veux avec, ces trous t’appartiennent.
    
    Bonne réponse. Les minutes qui ont suivi, je n’ai presque plus regardé le match, trop occupé avec le cul de Julie. Je n’ai même pas vu la bourde de notre gardien, et le deuxième but croate. Je m’amusais à faire vibrer le sextoy à intervalles régulières mais à intensités différentes, tout en lui doigtant le petit trou, et je n’ai retiré mes doigts que cinq minutes avant la fin du match.
    
    Cette fois-ci c’était fait. La France était championne du monde, et la foule était folle de joie. Heureux comme un gamin moi aussi, j’ai embrassé Julie à pleine bouche. Ma main s’est posée sur son cul, au-dessus de sa robe, et j’étais tellement content que j’aurais pu la prendre en levrette sur ...
    ... place. Je ne l’ai pas fait, mais j’en ai eu très envie. Au lieu de ça, on a fêté la victoire comme tout le monde. On a crié, on a dansé, on s’est baladé dans les rues sous les coups de klaxons, les pétards et les fumigènes. Il commençait à faire nuit lorsque Julie m’a demandé de rentrer.
    
    — Qu’est-ce qu’il y a ? lui ai-je demandé.
    
    — C’est rien, mais je crois que j’ai bu trop de bière et j’ai besoin d’aller au petit coin.
    
    — Ah ! D’accord, suis moi.
    
    Je l’ai prise par la main, et nous avons pris le chemin du retour. Mais alors que nous arrivions dans la rue, je l’ai attrapée par le bras et nous avons tourné dans une petite rue sans issue. Là, je l’ai poussée contre un mur. Comme elle n’avait pas l’air de comprendre, je lui ai dis, très simplement :
    
    — Pisse ici.
    
    — Non... J’oserais jamais...
    
    La gifle, plus humiliante que forte, est partie toute seule. Je l’ai alors attrapée par les cheveux et lui ai dis plus sèchement cette fois :
    
    — Tu te rappelles de ce que tu me disais, par texto ou par Skype, que tu ferais tout ce que je veux ? Et bien je veux que tu relèves ta robe, que tu écartes les cuisses, et que tu pisses devant moi comme une bonne chienne.
    
    — Oui Monsieur.
    
    Tout en relevant sa robe au-dessus de sa taille, Julie s’est accroupie et a écarté ses cuisses. Son sexe était encore luisant et gonflé d’excitation. Son envie était visiblement assez importante, car je n’ai pas eu à attendre longtemps avant de voir s’en écouler un jet doré. Elle ne savait ...