1. Les vacances de Julie (2)


    Datte: 26/03/2020, Catégories: Trash, Auteur: Anonyme, Source: Xstory

    Conformément à mon ordre, Julie avait enfilé sa robe, sans sous-vêtements bien évidemment. Uniquement sa robe, et son nouveau sextoy contrôlable à distance fiché au fond de son vagin. Une fois dans la rue, je la voyais qui regardait dans tous les sens, tirant sur le bas de sa robe.
    
    — J’ai l’impression d’être encore plus nue que d’habitude, avec ce truc en moi...
    
    — Du calme, je ne l’ai même pas encore allumé !
    
    Son sourire un peu effrayé m’a fait rire, et je l’ai embrassée tendrement avant de lui claquer le cul. En route pour le match ! La place Bellecour, et son écran géant devant lequel devaient s’agglutiner déjà un paquet de supporters, n’était qu’à une dizaine de minutes à pieds. Dix minutes durant lesquelles j’ai un peu joué avec l’œuf qu’elle avait en elle, juste quelques légères vibrations pour lui rappeler que j’avais le contrôle et que je comptais bien m’en servir. La suivant de près, je m’amusais à la voir sursauter ou croiser un peu les jambes à chaque vibration.
    
    Comme je l’avais prédit, la place était noire de monde. Tout le monde était sorti pour profiter de cet après-midi de fête, même ceux qui se foutaient bien du foot. Moi-même je n’y étais pas forcément intéressé de manière générale, mais j’avais envie de vivre cette possible joie collective. Et puis, j’avais envie de jouer avec Julie. Cette foule compacte et ce sextoy caché formaient un combo gagnant à tous les coups.
    
    On s’est installés sur la place, d’abord assis par terre en attendant que le ...
    ... match ne commence, dans une heure et demie seulement. En attendant, nous avons pris des bières, que nous avons bues au milieu de la foule qui faisait pareil, et nous avons parlé de nos vies, de nos envies, de tout et de rien. Comme s’il nous fallait rattraper ces mois de relation à distance. Aux yeux des gens autour de nous, nous étions un couple tout à fait banal, et aucun ne se doutait que nous étions tout sauf banals. Nous avions beau être en pleine discussion, je n’en oubliais pas pour autant que j’avais la clé de son plaisir dans la poche, ni que sa robe, remontée haut sur ses cuisses, était son unique vêtement.
    
    Au bout d’une heure, l’écran géant a commencé à retransmettre les images du stade de Moscou, et les gens se sont levés. Nous finissions notre troisième bière lorsqu’il s’est mis à pleuvoir des cordes. Tout le monde s’est retrouvé trempé de la tête aux pieds, mais personne n’a bougé, le match était plus important qu’une averse. Et puis cela avait rajouté un je ne sais quoi d’excitant. Les gens, humides, étaient collés les uns aux autres, et mon regard était irrésistiblement attiré par les sous-vêtements de ces dames que l’on distinguait à travers les vêtements mouillés... J’avais d’ailleurs pris Julie dans mes bras pour la réchauffer un peu, et m’amusais de voir ses tétons pointer fièrement à travers le tissu trempé de sa robe. Puis ça a été la Marseillaise, les gens chantaient, agitaient leurs drapeaux, se tenaient dans les bras. L’excitation montait, et moi je ...
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