un chien qui s'ignore 13
Datte: 26/03/2020,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
Mature,
Auteur: perver38, Source: xHamster
... désaltérait après mon repas journalier. Les trois dernières fournées de croquette avaient un gout différent, salées. Les croquettes étaient plus molles et certaines dégageaient une odeur forte. Je buvais plus mais le gout restait dans ma bouche. Je m’habituais finalement à ce gout étrange.
L’aérateur se mit anormalement à tourner plus vite, un air froid de l’extérieur arrivait dans mon cloaque, renvoyant mes odeurs à l’extérieur.
Un rai de lumière aveuglant et toutes sortes de bruits assourdissants m’avertirent brutalement de l’ouverture de la porte extérieure.
Le sas de nourriture s’ouvrit et l’image de deux jambes accroupies me ravit de joie. Je ne reconnaissais pas ces jolies bottines noires pointues, mais c’étaient bien les cuisses de ma maitresse femme en arrière plan. Mon sexe et mes couilles s’animèrent instantanément, mais furent vite comprimés dans leur équipement.
Un ‘sors de là, dépêche toi ! ‘ Me ravit de joie.
Ma joie fut vite remplacée par des douleurs généralisées dans tous mes membres et mon dos dès que j’amorçais ma sortie. Je n’avais pas bougé pendant plusieurs jours, 6 au moins !
Mais ma maitresse n’avait pas que ça à faire, j’empestais le chien et une douche m’attendait.
Elle me remit la laisse et tirait de toutes ses forces sur mon collier déjà très étroit. Tous mes membres étaient affaiblis et elle m’étranglait. J’en criais de douleur. Aucun son ne sortit de ma bouche grande ouverte. Même un gémissement rauque comme ...
... dernièrement.
Pas un son.
Je glissais ou marchais maladroitement de mes 4 membres ankylosés, tentant de soulager mon cou, mais maitresse me tirait sur la terrasse et m’aspergeait d’eau glacée à l’aide du tuyau d’arrosage. J’hurlais à nouveau de douleur. Mais rien ne sortit de ma gorge. Maitresse n’en avait rien à faire et concentrait le jet sur mon cul et mes couilles souillés. Elle était organisée et méthodique, avait revêtu sa tenue de vétérinaire pour les toilettes : grand tablier et bottes en caoutchouc blanc. Une tondeuse passa sur tout mon corps, hormis mon sexe et les zones inaccessibles par cette ceinture métallique, et finit sur mon crâne et mon visage.
J’étais dans un état second : ma déchéance, mes humiliations, mes punitions c’était une chose que j’endurais avec toujours un espoir, même maigre, de rémission.
Mais cette fois j’étais devenu muet.
L’a****l qu’elles avaient dressé ne pouvait plus s’exprimer. Jamais plus quelqu’un ne se soucierait d’attendre un avis ou une réponse de ma part.
Je restais à sécher au soleil dehors pendant que maitresse devait se préparer. Mes membres étaient fiables et tremblants.
Je pris conscience qu’on devait être le soir, elle partait en soirée.
Je la vis revenir comme jamais je ne l’avais vu en 20 ans de mariage. Sa robe en cuir rouge dont elle m’avait parlé qui lui tombait prêt du corps, mettant en évidence ses seins lourds qui pointaient à travers le cuir, la découpe cintrée accentuait sa courbure de reins et ses courbes ...