1. un chien qui s'ignore 13


    Datte: 26/03/2020, Catégories: BDSM / Fétichisme Mature, Auteur: perver38, Source: xHamster

    De longues heures passèrent. J’arrivai à me calmer en écoutant le doux ronronnement du ventilateur qui m’amenait de l’air frais dans cette étuve. Uniquement cela me reliait au monde extérieur.
    
    Je fus réveillé en sursaut par le sas qui s’ouvrait, laissant filtrer une lumière feutrée.
    
    J’avais réussi à me rouler en boule sur le côté et avait somnolé.
    
    Je tâchais de me remettre sur pattes pour rapidement passer ma tête par l’ouverture. Une gamelle était disposée là ; remplie de croquettes. Docilement je tendais mon cou pour atteindre de ma langue mon repas de la journée. Mais seulement après quelques secondes, la sonnerie bipait et je reculai pour libérer le sas qui descendit en silence.
    
    Je me retrouvai plongé à nouveau dans le noir.
    
    Puis tout à coup le haut parleur grésilla et des voix résonnèrent dans la niche. Des grincements, des gémissements et des voix entremêlées résonnèrent à mes oreilles. Ma maitresse femme avait tenu parole et avait activé son téléphone portable. Un homme était en train de la baiser, dans ce qui avait été mon lit ! Ma femme criait et l’homme y prenait du plaisir.
    
    Sidéré j’entendis ma femme lui crier’ vas y, baises moi à fond, défonces moi.’
    
    Je reconnaissais le bruit caractéristique du bois de lit qui tapait dans le mur
    
    ‘Allé vas y baises moi’.
    
    J’entendais le rythme du lit s’accélérer. Ma queue souffrait le martyr dans sa grille, mes couilles étaient dures.
    
    ‘T’aimes la queue toi hein ? T’aimes te faire baiser à 4 pattes ...
    ... hein !’
    
    Ma femme criait et jouissait bruyamment pendant que l’homme la bourrait à grands coups. J’enrageais et me tapais la tête contre les parois, excité comme un fou.
    
    Mais ce n’était pas fini.
    
    J’entendais ma femme reprendre son souffle. Le bruit m’indiquait un changement de position.
    
    ‘Tu vas voir comme on les baise les allumeuses dans ton genre’
    
    Ma femme poussa un cri de surprise. L’homme ahanait et avait accéléré la cadence. Ma femme criait maintenant, puis l’homme jouit bruyamment en la traitant de pute.
    
    La communication fut coupée. Je replongeais dans le silence absolu, coincé dans ma boite, oublié dans le placard sous l’escalier. Je pensais à mon chien Toby qui devait rêvasser, affalé sur son tapis, à rêver de ses chasses.
    
    Mon attente était rythmée par mes somnolences, mes courbatures, mes crises d’angoisse et mes interrogations multiples.
    
    L’ouverture du clapet de nourriture rythmait ma souffrance muette. Je me nourrissais rapidement dans le temps imparti par la minuterie, sans être affamé sachant par expérience que ma maitresse pouvait arrêter de me nourrir.
    
    C’était mon seul repaire du temps écoulé.
    
    6 ouvertures, 6 diffusions de lumière, 6 extensions de ma tête, les épaules près du sol pour passer ma tête par l’ouverture.
    
    Et puis les bips, la descente du sas et à nouveau mon isolement.
    
    J’avais trouvé l’apport d’eau qu’un tube au dessus de ma tête me délivrait. Une forme bite en latex que je devais pomper au vrai sens du terme me ...
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