1. Pute façonnée


    Datte: 25/03/2020, Catégories: Anal Mature, Voyeur / Exhib / Nudisme Auteur: BAZOUK1, Source: xHamster

    ... genre. Gentleman, il n'en était pas moins rouge tout soufflant surtout quand je vins dans la voiture à écarter les cuisses.
    
    La conversation roula sur l'immobilier. Il me raconta qu'il était allé aujourd'hui sur Paris traiter pour un de ses clients. Travaillant dans une banque je lui révélais que je gérais les prêts immobiliers. Bref nous eûmes un échange des plus pertinents. Je soupirais qu'il n'eût plus d'audace pour apposer sa main sur ma cuisse d'autant que celle-ci était écartée jusqu'à toucher le manche du frein à main. Je ne pouvais faire davantage. En fait voyant le panneau de ma commune, je fis le geste irréparable de porter moi-même une main sur la cuisse de mon conducteur.
    
    J'affectais cela d'une façon spontanée et innocente lui disant : « Ralentissez nous arrivons. » Il parut plus surpris de notre arrivée impromptue plutôt que de mon geste osé. Sur le coup j'inventais un conte. Prenant l'air apeuré je lui demandais qu'il me posa à quelques rues du domicile afin que mon mari ne sut qu'un homme m'avait raccompagné. En un mot je subissais un mari jaloux et brutal. Il m'avait su nombre d'amants. Il m'en avait puni. J'ajoutais : « Vous devez me juger bien sévèrement.» Armand homme charmant protesta. Il n'avait pas à me juger.
    
    A présent nous étions arrêtés. La voiture rangée auprès d'un arbre. Le silence envahit l'habitacle. Je regardais de côté par la vitre afin qu'il ne vit mon visage me croyant bouleversée et pleurant. Son ton se voulait consolant. C'est ...
    ... à ce moment que peut-être transporté par son émotion ou plutôt un inavouable désir, il porta la main sur ma cuisse. Tandis qu'il pérorait cette main à mesure poursuivait le trajet jusqu'à ma motte que j’avais impunément découverte à cet instant-là. Je fermais les yeux car avec des mots tendres il avait commencé à me caresser.
    
    Je protestais encore qu'il devait me mépriser me croyant une pauvre fille. Il me prit soudain dans les bras tel un père affectueux. J'eus alors la crainte que put survenir un voisin ou une autre connaissance. On pouvait me reconnaître en effet au fond de la voiture avec cet homme. En fait cela m'excitait de commettre peu loin du domicile l'adultère. Mon vicieux paternel à présent m’embrassait me tripotant la chatte avec sa main. Je lui rendis fougueusement ses baisers. J'avais une envie forcenée d'être sautée. D'un ton résolu, je lui demandais que nous allâmes plus loin.
    
    Il y avait un proche canal où les couples forniquaient. J'y pris l'initiative. Je me donnais une petite heure pour parvenir à mes fins. Armand fut sucé. Sa queue était modeste mais elle fut vite affermie dans ma bouche. Sur la banquette arrière, il me bourra convenablement. J'étais tant en chaleur que le plus piètre amant eût réussit à me contenter. C’était un cas d’urgence. Il fallait éteindre l'incendie allumé tôt le matin. J'eus apprécié qu'il s’accordât la même libéralité à mon cul mais c'était sans doute trop demandé à un notaire.
    
    Je n'avais cure qu'il m'eût démasqué et ...
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