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Pute façonnée
Datte: 25/03/2020, Catégories: Anal Mature, Voyeur / Exhib / Nudisme Auteur: BAZOUK1, Source: xHamster
... habillée pour l'hiver. On me prêtait trop d'aventures. Le mot putain n'étant pas assez fort pour moi. En 44 j'eus été accusée de collusion avec le boche et irrémédiablement rasée. Une stagiaire avec laquelle j'eus sympathie me confirma qu'on l'avait prévenu contre moi. On me qualifiait de garce et de mangeuse invétérée d'hommes. Pour vous rassurer la vérité était bien en dessous. J'étais plutôt une allumeuse. Pour le reste j'avais trop peur du désordre dans la vie. N'empêche avec l'âge et fort singulièrement j'en vins à m'autoriser plus de licence. Je mets cela sur le compte de ce démon de midi. J'ai vraisemblablement été trop sage en mes jeunes ans. Je m'obligeais à ratt****r le temps perdu. Je voulais éprouver certaines sensations. Peut-être aussi voulais-je donner matière inconsciemment à ma réputation. Pourquoi ne pas devenir salope pour de bon ? Qui plus est là aussi mon mari me poussait. J'en eus un jour l'aveu et la révélation. Ce fut l'été. En un coin que je croyais fort isolé de mon jardin je me dorais à poil sur mon transat. Le voisin, mari d'une bonne amie avait incidemment ménagé un trou dans une sorte de troène qui constituait la séparation entre nos propriétés. Par cette ouverture assurée ce vicieux me matait et qui plus est se branlait. Du moins fut-ce rapporté par mon mari qui avait tout vu. En effet celui-ci surplombait à l'étage le spectacle. Tant mon corps nu exposé que l'autre de l’autre côté qui s'astiquait. Ce jour-là je fis un beau scandale. Que ...
... n'avait-il incité le cochon à déguerpir et à me prévenir de sitôt. Au contraire il laissât faire tout l'été. Je n'en fus informée que deux mois après. Même stratégie, mon mari avoua que cela l'avait excité et exacerbé son érection quand il me pénétrait la nuit. Je perçus au-delà qu'il n'eût pas été mécontent de me voir posséder par un autre. Le mot de putain qu'il me prodiguait dans le feu de l'action avait besoin d'avoir plus de réalité. Ces révélations me bouleversèrent car elles allaient à la rencontre de mes propres désirs et intuitions. Une amie d'enfance, ardente confidente m'incita à aller plus loin. Elle-même au bout de deux divorces s'était convertie à une vocation de libertine écumant les broîtes échangistes. Je ne la suivis pas pourtant. J'ai toujours éprouvé pour cette pratique un mélange de répugnance voire de pitié pour ces damnés du sexe. J'y décèle comme un secret désespoir, une fatuité et un snobisme propre à l'époque. Enfin je n'y veux croiser de tristes sires dans le genre DSK. On est loin du sexe joyeux ou pervers comme je le conçois. Je n'en retins pas moins la leçon qu'il me fallait pratiquer d'autres hommes que le mien. Je devais me donner ou m'offrir à plein d'autres. Je devais préserver cependant ma vie privée. Cette double vie devait être solidement étayée. Je n'eus pas à chercher loin pour perpétrer le premier méfait. J’accompagnais souvent mon dernier fils à des matchs de hand-ball. J'y avais repéré Eric l'assistant 'entraîneur dont les ...