Après de l'après
Datte: 24/03/2020,
Catégories:
fhhh,
grossexe,
taille,
fsoumise,
hdomine,
Oral
pénétratio,
sm,
fsoumisah,
Auteur: Patrik, Source: Revebebe
... à protéger ; ça doit être mon trip ultime ! De plus, pas besoin de jouer la soumise avec Jean-Paër : son autorité naturelle et sa large carrure suffisent largement, et ça me convient parfaitement ainsi, sans parler que c’est reposant par rapport à mes deux autres hommes ! Oui, pas besoin de jouer la soumise ; avec Jean-Paër, je suis naturellement sa petite chose.
Tout est grand chez lui : ses mains, ses bras, ses jambes, son corps, sa queue, ses boules, un modèle géant ! Son membre viril est très impressionnant, mais il sait agréablement s’en servir. Pourtant, je ne suis pas une fana des gros calibres ; mais je dois avouer que de savoir tout ce mandrin en moi me rend toute chose, d’autant que je me demande toujours comment tout ça a pu entrer en moi !
C’est d’ailleurs ce qui risque de se passer dans quelques instants puisque je fais actuellement l’amour avec Jean-Paër. Pour l’instant, nous en sommes aux caresses, au corps-à-corps, à nos mains qui se cherchent, à nos peaux qui se frôlent, et c’est déjà très excitant. J’aime la façon qu’il a de me câliner, moi sa petite chose toute menue entre ses bras !
Puis n’y tenant plus, ostensiblement, je me couche sur le dos, levant mes bras et mes jambes. Mon message est explicite. Un peu dubitatif, se penchant sur moi, Jean-Paër demande :
— Tout de suite, Valou ? Comme ça ?
Mes mains sur son cou, je le supplie :
— Oh oui, comme ça. Mets-moi tout !
— Tout ?
— Oui, tout ! Bien au fond, que je te sente bien en moi ...
... !
Tandis que, sans honte, je projette mon bassin vers lui, il se positionne juste à l’entrée de mes lèvres déjà ouvertes. Je regarde sa grosse queue dardée vers mon entrée : on dirait presque un bras d’enfant au poing fermé. Le simple contact de son gland m’électrise ! Il me regarde intensément ; j’aime quand on me dévisage ainsi…
— Allez, mon chéri, vas-y ! Vas-y !
Son gland écarte mes lèvres déjà bien glissantes et s’introduit posément en moi. Je serre un peu les lèvres ; c’est vrai que c’est imposant ! Je sens distinctement un pieu massif de chair coulisser petit à petit en moi, me comblant, m’envahissant. Même si ça me fait toujours un peu peur, j’adore cette sensation de plénitude, d’être totalement remplie, saturée.
— Vas-y ! Vas-y ! Mets tout ! Tout !
Cette énorme bite chaude et douce est à moitié en moi. En sueur, je souffle un peu. Jean-Paër m’interroge du regard ; je lui souris. J’ai l’impression qu’il est déjà totalement en moi, qu’il est au plus profond, mais je sais que ce n’est pas le cas pour l’avoir déjà vécu ! Quelque chose force en moi, comme une porte un peu entrouverte mais qui refuserait de s’ouvrir plus, puis après une secousse insolite, je subis comme une seconde introduction, plus lointaine, plus étrange. Je respire lentement ; je ressens chaque millimètre qu’il insère en moi tandis que nous nous regardons dans les yeux. Oh, que j’aime être possédée ainsi, être regardée ainsi !
— Encore ! Oui… encore !
Je ne me l’explique pas, mais je ...